Une vue aérienne de Tel Arad forteresse qui se dresse dans ce qui était autrefois le Royaume de Juda. (Crédit: Asaf. Z; Domaine Public)
Plus de 2 700 ans, les adorateurs de la à un « saint des saints » sanctuaire en Israël avez obtenu de haut sur de mauvaises herbes. Les chercheurs ont découvert brûlé cannabis et de l’encens sur le site, qui a été situé dans le Royaume de Juda.
les Chercheurs ont effectué la découverte après avoir analysé les anciens résidus laissés sur les deux autels du sanctuaire. Le brûlé le cannabis est la première preuve connue de [a] substance hallucinogène trouvé dans le Royaume de Juda, » une région qui comprend maintenant des parties de la cisjordanie et le centre d’Israël, les chercheurs ont écrit dans l’étude.
une Fois que le cannabis a été brûlé à l’Âge de Fer site de, « nous pouvons supposer que les religieux état modifié de conscience dans ce sanctuaire a été une partie importante de la cérémonie qui a eu lieu ici, » étude chercheur principal de l’Eran Arie, le conservateur de l’Âge du Fer et de la période perse de l’archéologie au Musée d’Israël à Jérusalem, dit Live Science dans un e-mail.
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les Archéologues d’abord fouillé le site, dans les années 1960, ils ont déterré deux forteresses, datant du ixe au début du sixième siècle B. C., qui flanquait la frontière sud du Royaume de Juda. Au cours de ces fouilles, les archéologues ont trouvé une bien conservé sanctuaire datant d’environ 750 B. C. à 715 B. C.
Dans le sanctuaire de l’entrée ont été deux calcaire autels, l’un debout 18 pouces (40 cm) de haut et l’autre de 20 pouces (50 cm) de hauteur. Chaque autel avait une dépression peu profonde sur le dessus, contenant une « ronde des tas de noir solidifié matières organiques, » les chercheurs ont écrit dans l’étude. Basé sur les autels, les caractéristiques, les chercheurs ont conclu que c’était un « saint des saints » du sanctuaire, censé évoquer le sanctuaire intérieur de la tente des Israélites, où Dieu a pensé à apparaître. Les Tests de ce noir de crasse dans les années 1960 a donné la plupart des résultats non concluants, notant seulement que l’une touffe contenait de la graisse animale.
Arie a décidé de réexaminer cette matière noire, surtout depuis quelques résidus restait sur les autels. Il s’est associé à l’étude de la co-chercheur Dvory Namdar, directeur de recherche à l’Institut des Sciences Végétales de l’Volcani Centre de Recherche Agricole en Israël. Namdar possède une expertise dans l’analyse des résidus de l’ancienne brûlé de l’encens, mais « nous n’avons jamais pensé que nous ne [seraient] révèlent une surprenante découverte » comme le cannabis, Arie dit.
Cependant, Namdar a peur que l’échantillon pourraient avoir été contaminées; à l’époque, elle a travaillé dans un laboratoire qui a effectué la recherche sur les cannabinoïdes. Ainsi, les chercheurs ont « re-échantillonné les autels et vérifié les résultats dans un autre laboratoire à l’Université hébraïque de Jérusalem, » Arie dit. « Les résultats ont été les mêmes. »
Cérémonie de gravure
Les nouveaux tests ont révélé que le plus petit autel brûlé du cannabis et des déjections d’animaux. Il semble que le « fumier animal a été utilisé comme carburant [brûler] le cannabis, » Arie dit. Bouse brûle plus lentement que d’herbes, de sorte qu’il aurait ralenti le processus de gravure, dit-il.
Le plus grand autel contenait les restes de l’encens et de la graisse animale, qui favorise l’évaporation de l’aromatique résine d’arbre. C’est la preuve la plus ancienne que l’encens a été utilisée dans le culte de la pratique dans le Royaume de Juda, Arie dit.
les Deux de ces résultats fournissent des indices sur les pratiques sectaires dans le Royaume de Juda. En particulier, le cannabis constatation indique que les gens peuvent avoir délibérément utilisé la plante pour son « hallucinogènes ingrédients » pour stimuler l’ecstasy au cours de cérémonies du culte, au moins au cours de la huitième siècle B. C., Arie dit.
les Pratiques à ce temple peut également faire la lumière sur le Premier Temple, également connu comme le Temple de Salomon, qui était aussi dans le Royaume de Juda et dans les utiliser en même temps. Le sanctuaire à Arad « était un fonctionnaire sanctuaire du Royaume de Juda, » Arie dit, il est donc possible que ces résultats peuvent être « extra-biblique de la preuve » que des pratiques similaires ont été utilisées dans le Premier Temple, Arie dit.
En d’autres termes, la bible mentionne que l’encens était brûlé dans le Premier Temple, mais parce que ce sanctuaire utilisé à la fois du cannabis et de l’encens, de ces substances « étaient probablement aussi (au moins) une partie des composants de l’encens qui brûlait dans le Temple de Jérusalem, » Arie dit.
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d’Où ces brûlé les ingrédients proviennent? L’encens qui vient de l’Arabie, il est donc probable que le Royaume de Juda a pris part dans le sud de l’Arabie du commerce, avant même de l’empire Assyrien encouragé de telles pratiques de départ, en 701 B. C., les chercheurs ont dit. En outre, il n’était probablement pas bon marché. « La haute valeur de l’encens se reflète d’ailleurs dans la Bible, d’où son prix est comparé plusieurs fois avec de l’or et de pierres précieuses, et il est souvent décrit comme un trésor royal, » les chercheurs ont écrit dans l’étude.
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Cannabis, en revanche, n’est pas local pour le Moyen-Orient. Plutôt, le cannabis provient de haut sur le Plateau Tibétain, selon une étude de fossiles de pollen. Qui plus est, il n’y a pas de cannabis graines ou le pollen reste connu dans le Proche-Orient ancien de l’archéologie. Il est donc possible que les plantes de cannabis « peuvent avoir été importés à partir des origines lointaines et ont été transportés à sec de résine (communément connu comme le haschisch), » les chercheurs ont écrit dans l’étude.
La nouvelle découverte « est révolutionnaire en faire un cas pour l’utilisation d’spécialisés psychoactives plantes au début de religion Israélite », a déclaré Patrick McGovern, directeur scientifique de l’Archéologie Biomoléculaire Projet à la Penn Museum de Philadelphie, qui n’était pas impliqué dans l’étude.
Cependant, McGovern a dit l’étude pourrait avoir fouillé plus profondément dans le cannabis résultats. « La proposition que le cannabis a été chauffé à la libération des composés psychoactifs, plutôt que par son parfum, comme de l’encens (fourni par l’encens, en tout cas), est un intrigant proposition, » il a dit.
Il est intéressant de noter que la Bible hébraïque n’apparaît pas parler de l’usage de cannabis, et qu’il n’est pas connu preuves archéologiques de la plante dans le sanctuaire, il a noté. Cela dit, il ne peut pas être exagéré, étant donné que les gens dans le Royaume de Juda, utiliser un autre autre substance psychotrope dans les rituels, à savoir l’alcool, McGovern a dit. L’étude ne mentionne pas « les propriétés psychoactives de vin de raisin, qui, nous le savons, ont joué un rôle central au début de religion Israélite, » McGovern a dit.
L’étude a été publiée en ligne hier (le 28 Mai) dans le journal de Tel-Aviv.
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publié à l’Origine sur Live Science.
