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Ancien ministre de la Défense Jim Mattis sur les raisons de son livre n’est pas un tell-all’
Jim Mattis dit ceux d’entre nous qui ont la responsabilité de garder l’armée apolitique.
James Mattis, qui a servi en tant que Président d’Atout premier secrétaire à la défense, critiqué fortement le président dans une déclaration à L’Atlantique publié le mercredi — exhorte les Américains à rejeter et de demander des comptes à ceux dans le bureau qui en ferait une parodie de notre Constitution. »
Trump a émis sa propre formation de cloques condamnation sur Twitter mercredi soir, en soulignant que le Président Obama a levé Mattis en tant que chef du Commandement Central des états-UNIS en 2013.
« sans doute la seule chose Barack Obama et moi avons en commun, c’est que nous avons tous deux eu l’honneur de tir Jim Mattis, le monde le plus surestimé Général, » Trump a écrit. « J’ai demandé sa lettre de démission, & sentais très bien à ce sujet. Son surnom était « Chaos », dont je n’ai pas aimé, & l’a changé à » Mad Dog.’ Sa principale force n’était pas militaire, mais plutôt personnel des relations publiques. Je lui ai donné une nouvelle vie, des choses à faire, et des batailles à gagner, mais il a rarement ‘a la maison le lard’. Je n’aimais pas son « leadership », de style ou beaucoup de chose sur lui, et de nombreux autres sont d’accord. Contente qu’il est parti! »
Mattis restait en grande partie hors de la vue du public depuis la démission en décembre 2018, quand il s’est opposé à Trump brusque retrait des troupes de Syrie. La retraite du Corps des Marines général a dit qu’il voulait donner à l’administration une « opportunité » pour gouverner, plutôt que de critiquer le président dans la presse.
mercredi, cependant, Mattis clair que l’Atout, en réponse à l’manifestations dans tout le pays plus de la mort sous garde de George Floyd avait poussé à agir.
plus Précisément, Mattis est apparu pour objet de contributions de la décision d’effacer les manifestants à Washington DC Lafayette Park, lundi, avant d’Atout visite du centre historique, l’Église St John, qui émeutiers avaient brûlé la nuit précédente. Le United States Park Police a nié avoir utilisé des gaz lacrymogènes pour disperser les manifestants, malgré les divers rapports des médias, et les autorités ont dit ils ont nettoyé le parc en raison de violentes explosions et pas pour faire de la place pour Trompette.
“Quand j’ai rejoint l’armée, certains il y a 50 ans,” Mattis a écrit, “j’ai fait le serment de soutenir et de défendre la Constitution. Jamais je n’ai rêve que les troupes de prendre le même serment pourraient être commandés en aucun cas violer les droits Constitutionnels des citoyens, et encore moins de fournir une étrange photo op pour l’élu commandant en chef, avec le leadership militaire debout à ses côtés.”
le Président Donald Trump passe devant la police dans le Parc Lafayette après la visite de l’extérieur de Saint-Jean de l’Église en face de la Maison Blanche lundi, le 1er juin 2020, dans l’état de Washington. Partie de l’église a été incendiée lors des manifestations dans la nuit de dimanche. (AP Photo/Patrick Semansky)
de manière Plus générale, Mattis a eu problème avec Trump efforts de l’homme d’état et chef de file.
“j’ai regardé cette semaine le déroulement des événements, de la colère et consterné,” Mattis a écrit à la prise de courant. “Les mots « l’Égalité devant la Justice en Vertu de la Loi » sont gravés sur le fronton de la Cour Suprême des États unis. C’est précisément ce que les manifestants sont, à juste titre, exigeant. Il est sain, et l’unification de la demande qui de nous tous doit être en mesure d’obtenir derrière. Nous ne devons pas être distrait par un petit nombre de contrevenants à la loi. Les manifestations sont définis par des dizaines de milliers de personnes de conscience qui insistent sur le fait que nous vivons nos valeurs, nos valeurs en tant que peuple et de nos valeurs en tant que nation.”
Mattis a continué: “Donald Trump est le premier président, dans ma vie qui n’est pas d’essayer d’unir le peuple Américain—ne fait même pas semblant d’essayer. Au lieu de cela, il tente de nous diviser. Nous assistons les conséquences de trois ans de cet effort délibéré. Nous assistons les conséquences de trois ans sans maturité de leadership. Nous pouvons nous unir, sans lui, s’appuyant sur les forces inhérentes à notre société civile. Ce ne sera pas facile, tant les derniers jours ont montré, mais nous le devons à nos concitoyens, à des générations antérieures, qui a saigné à défendre notre promesse; et pour nos enfants.”
Mattis remarques ont été publiés heures après la dissidence semblait être de brassage à nouveau dans le Pentagone. Le Secrétaire à la défense Marque Esper a carrément dit aux journalistes que, malgré Trump remarques plus tôt cette semaine, il n’est pas en faveur du président invoquant l’Insurrection Loi afin de l’envoyer à l’armée AMÉRICAINE pour réprimer des manifestations violentes. Quelques Républicains ont également dit que l’armée devrait intervenir compte tenu de l’ampleur des émeutes de dépassement des principales villes AMÉRICAINES.
« cette option pour utiliser Le service actif des forces dans une loi d’application de la loi doit être utilisé uniquement comme une mesure de dernier recours et seulement dans les plus urgents et les situations désespérées, » Esper dit. « Nous ne sommes pas dans une de ces situations. Je ne supporte pas invoquer l’Insurrection Loi. »
Dans sa déclaration à L’Atlantique, Mattis aussi a eu pour but de Esper, directement critiquer Esper récent appel de gouverneurs à « dominer l’espace de combat. »
l’Ancien Secrétaire AMÉRICAIN à la Défense, Jim Mattis écoute à une question lors de sa comparution devant le Council on Foreign Relations à New York, mardi, Sept. 3, 2019. (AP Photo/Richard Drew)
SECRET des AGENTS des SERVICES de BLESSÉS; TRUMP se PRÉCIPITA VERS le BUNKER en DESSOUS de la MAISON BLANCHE
« Nous devons rejeter toute pensée de nos villes comme un » espace de combat « que nos militaires en uniforme, est appelé à » dominer,' » Mattis a écrit. « À la maison, nous devrions utiliser nos militaires que lorsque cela lui est demandé, à de très rares occasions, par le gouverneur de l’état. La militarisation de notre réponse, comme nous l’avons vu à Washington, DC, met en place un conflit, un faux conflit entre l’armée et la société civile. Elle érode le moral qui assure un lien de confiance entre les hommes et les femmes en uniforme et la société qu’ils ont juré de protéger, et de qui ils sont eux-mêmes une partie. De maintien de l’ordre public repose civils de l’état et les responsables locaux qui comprennent le mieux à leurs communautés et sont responsables devant eux. »
Mattis remarques a attiré des réactions contrastées. Ancien Missouri Démocratique Père-Claire McCaskill a tweeté: « Mattis. Enfin. Mais avec l’éloquence qui devrait se réveiller beaucoup de ceux qui sont dans une politique de coma. Il était un guerrier pour notre nation. Cela aura un grand impact sur nos militaires. Et nous espérons que Républicains, des élus qui ont des montagnes de respect pour lui. »
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« Mattis a démissionné en signe de protestation parce que Trump voulait retirer les troupes de Syrie », rétorque le journaliste Michael Tracey. « Il n’a aucun sens moral. »
« C’est un bon moment pour rappel, ainsi, c’est à peu près l’ensemble de nos médias et l’armée pundit classe poussé à suivre des troupes en Syrie sous le prétexte que leur retrait conduirait à l’ *immédiat* le génocide des Kurdes », a écrit Le Fédéraliste de Mollie Hemingway. « Ce n’est pas arrivé. Quelques jours plus tard, ils ont abandonné l’histoire. »
Fox News Ronn Blitzer a contribué à ce rapport.
