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les Tensions avec la Chine sur le coronavirus, Hong Kong
Axios journaliste David Lawler rejoint » l’Amérique de l’Actualité de l’ac.’
Alors que l’Organisation Mondiale de la Santé ont fait l’éloge de la Chine en janvier pour sa réponse rapide de la part du nouveau coronavirus, l’organisation des Nations Unies agence de la santé était frustré derrière les coulisses de la Chine des retards dans la communication des renseignements est nécessaire pour lutter contre la propagation du virus, L’Associated Press a trouvé.
QUI à plusieurs reprises a remercié le gouvernement Chinois pour le partage de la carte génétique du virus “immédiatement”, et a déclaré que son travail et son engagement à la transparence ont été “très impressionnant, et au-delà des mots.”
Malgré les applaudissements, la Chine en fait assis sur la libération de la carte génétique, ou génome du virus pendant plus d’une semaine après trois différents laboratoires du gouvernement avait entièrement décodé l’information. Des contrôles stricts sur l’information et la concurrence au sein de la population Chinoise du système de santé sont à blâmer, d’après des dizaines d’interviews et de documents internes.
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le gouvernement Chinois laboratoires publié seulement le génome après un autre laboratoire a publié à l’avance les autorités sur un virologue site sur Janv. 11. Même alors, la Chine bloqué pendant au moins deux semaines de plus sur la prestation QUI, avec des données détaillées sur les patients et les cas, selon des enregistrements de réunions internes organisé par l’U. N. agence de la santé par le biais de janvier — tous à un moment où l’épidémie sans doute pourrait avoir été considérablement ralenti.
les responsables de l’OMS ont été vantant la Chine en public parce qu’ils voulaient coax plus d’informations sur le gouvernement, les enregistrements obtenus par l’AP suggèrent. En privé, ils se sont plaints, dans les réunions de la semaine de Janv. 6 que la Chine n’a pas été le partage de suffisamment de données pour évaluer l’efficacité de la propagation du virus entre les personnes ou quels sont les risques qu’il pose pour le reste du monde, les coûts de temps précieux.
“Nous allons sur de très peu de renseignements”, a déclaré American épidémiologiste Maria Van Kerkhove, maintenant, QUI est responsable technique de COVID-19, dans une réunion interne. “C’est clairement pas assez pour vous de faire une bonne planification.”
“Nous sommes actuellement au stade où oui, ils sont en nous la donnant à 15 minutes avant qu’il apparaît sur CCTV,” a dit QUI est top officielle en Chine, le Docteur Gauden Galea, se référant à l’état de la Télévision Centrale de Chine, dans une autre réunion.
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CORONAVIRUS: CE que VOUS DEVEZ SAVOIR
L’histoire derrière la réponse précoce à virus arrive à un moment où l’U. N. agence de la santé est en état de siège, et a convenu d’un organisme indépendant de la sonde de comment la pandémie a été traitée à l’échelle mondiale. Après avoir à plusieurs reprises l’éloge de la réponse Chinoise au début, le Président Trump a fustigé QUI dans les dernières semaines pour avoir soi-disant collusion avec la Chine afin de masquer l’ampleur de la coronavirus crise. Il a coupé ses liens avec l’organisation, vendredi, mettant en péril la à environ 450 millions de dollars des états-UNIS donne à chaque année, QUI est plus grand bailleur de fonds unique.
En attendant, le Président Chinois Xi Jinping s’est engagé à hauteur de 2 milliards de dollars sur les deux prochaines années pour lutter contre le coronavirus, disant que la Chine a toujours fourni des informations à l’OMS et le monde “dans un la plupart des temps voulu.”
La nouvelle information ne prend pas en charge le récit, soit les états-UNIS ou la Chine, mais plutôt le portrait d’un organisme maintenant coincé dans le milieu qui était urgent d’essayer de trouver plus de données en dépit d’une autorité limitée. Bien que le droit international oblige les pays à fournir des renseignements à QUI que pourrait avoir un impact sur la santé publique, l’U. N. agence n’a pas de pouvoirs d’exécution et ne peut pas enquêter de façon indépendante sur les épidémies dans les pays. Au lieu de cela, elle doit compter sur la coopération des états membres.
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Les enregistrements indiquent que, plutôt que d’être de connivence avec la Chine, en tant que Trump a déclaré, QUI a été lui-même maintenu dans l’obscurité, comme la Chine l’a donné les informations minimales requises par la loi. Toutefois, l’agence n’a pas essayé de dépeindre la Chine dans la meilleure lumière, ce qui est probablement un moyen d’obtenir plus d’informations. Et les experts de l’OMS véritablement la pensée des scientifiques Chinois avait fait “un très bon travail” dans la détection et le décodage du virus, malgré le manque de transparence de la part des responsables Chinois.
les membres du personnel QUI ont débattu des moyens d’appuyer sur la Chine pour des séquences de gènes et détaillée des données du patient, sans froisser les autorités, craignant de perdre l’accès et l’obtention des scientifiques Chinois des ennuis. En vertu du droit international, QUI est nécessaire pour partager rapidement des informations et des alertes avec les pays membres sur l’évolution de la crise. Galea de noter QUI ne pouvaient pas se livrer à la Chine souhaite signer l’information avant d’en parler à d’autres pays, car “ce n’est pas respectueux de nos responsabilités.”
L’Associated Press a contribué à ce rapport.
