Aufstiebender Grésil de Flûtes, Hautbois, Clarinettes, Fagotten et Saxophone gerbt nous l’Oreille. Trombones et Tuba grognement assez horrible comme Béhémoth et Léviathan. Parce que fait rage une dernière impie Bataille entre Ciel, Terre, Air et Mer. Et ce Tumulte, dans la magnifique Staatskapelle de Berlin, Matthias Pintscher dans le Fossé de la Staatsoper unter den Linden dirigentisch Mors et les Rênes de a créé, donc il a tout dans les Mains de conserve, ce kosmoszerberstenden Bruit entragen certains Molldreiklänge comme carbonisé Charpente zermalmter Églises des Sables mouvants baltes Dunes. Ils sont réels Fantômes devenus des Reliques de Confiance: Tribulations d’un sinistre, devenue Maison. Mais alors, à partir de la Mesure 89 ce Prélude de l’Opéra « Violet à la Neige » de Beat Furrer, glisser les Cordes vers le bas, Niveau supérieur à la hausse avec chaque Neueinsatz. C’est la Chute dans les deux Sens, tout comme dans le Texte de la Chorale, staunenerregende Vocalconsort Berlin, à partir de la Mesure 141 plutôt bourdonne comme chante, les Lignes de l’Écriture « De rerum natura de Lucrèce, où le tonnerre Ciel « vers le haut entstürzen », comme Furrer traduit, « et la Terre, le Pied se déchirant échappe ».

Jan Brachmann

Rédacteur dans le Feuilleton.

F. A. Z.

Furrer définit dans son nouvel Opéra stimulante, passionnante Imagination sonores de la Narration. Le Silence hiver, l’Air, le Crissement de la Neige, d’argent, des Sommes des Flocons dans le Cas, il met en Contraste avec les Fouets du Cyclone, et le Cri de la Créature dans les Exactions des Éléments.

Avait Ludwig van Beethoven sur son Pastoralsymphonie écrit: « Plus l’Expression de la Sensation de la Peinture », ainsi démasqué Furrer la Maxime de bon gré mal gré comme la Formulation d’un Herrschaftsverhältnisses, les Naturdarstellung dans l’Art de la Primauté de la Psyché humaine se soumet. Dans son Opéra, c’est le contraire. La Musique en tant qu’Agent de la Nature, de conduire les six Personnages, dont les Âmes motorisés. La Nature n’est plus de Résonance de l’Âme. Au contraire, la Psyché et le gepeinigte Corps de l’Homme au Miroir d’une ravagé, à partir de son Ancrage dans le béton fissuré Nature.

Une Histoire de l’Écrivain russe Vladimir Sorokin sur un groupe de Chercheurs, par désastreuse de chasse-neige enfermé dans une Maison, cet Opéra à la base. Furrer ressenti Sorokina Projet de Livret comme pas vertonbar et a demandé de Händl Klaus, avec lequel il a déjà collaboré avait, pour une linguistique de la Réforme. Il a été encore une Scène Andreï Tarkovski Film « Solaris » est inséré dans la Description de Pieter Bruegel l’Image « Chasseurs dans la Neige » joue un Rôle important. Si l’Opéra bienfait, ne peut être mise en doute. L’aspect catastrophique de Force grâce à une très solide, seminaristisch style de l’Image encadrée, les Auditeurs et les Téléspectateurs à nouveau le Plaisir de Unbeteiligtseins donne.

Le Metteur en scène Claus Guth, le Scénographe Étienne Pluss, la Costumière Ursula Kudrna et des Créateurs Arian Andiel laisser l’Opéra, au Kunsthistorisches Museum de Vienne, de nos Jours, pour débuter, Martina Gedeck comme Tanya parle de la Description de l’image dans angoissé zitterndem la Folie. Et nous voyageons à travers les Détails de la mouvement, agrandie en Peinture, comme dans la belle Série de Nikita Mikhalkov « Voyage Sentimental à travers la Peinture russe du xixe Siècle »: gemütvolles Bildungsfernsehen, seulement scénique avec un peu de Katastrophenkitzel enrichi.

Ce que les Personnages plus tard, dans les rafales de neige, de négocier, obéissez, soit le besoin de votre Situation (vous brûler les Meubles, vous envisagez de Faim les uns des autres pour de la nourriture) ou de la Dramaturgie progressive Acceptation de l’Inévitable. Comme la Musique, même sensible de la mise en scène, de ce Subi de Choses de cette Perte des Options de tracés, est à son tour probants. Dans les Moments de Silence, il en résulte une Idylle de la Terreur.