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Pierre Pabón et Kenny Cousins se sentent comme ils ont survécu à une épidémie de peste.
La Ville de New York, les photographes sont en essayant de capturer l’histoire vivante du coronavirus pandémie dans le dur-frapper la ville, une fois l’épicentre de la COVID-19 de traumatologie de l’Amérique.
Pabón est une New-Yorkaise avec des racines profondes dans l’industrie des sports d’action et de la scène musicale nationale et internationale. Cousins est à partir du nord du New Jersey et il est maintenant un de Brooklyn, l’homme qui se déplace autour de deux caméras; il a dit à Fox News: “je prends mes amis. Je shoot strangers. Je prends des petites entreprises qui tentent de joindre les deux bouts.J’ai essayer de capturer les moments du quotidien de la vie et de l’émotion humaine et de raconter des histoires.”
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Pabón, qui vit maintenant à Sheepshead Bay, à Brooklyn, et conduit sa voiture pour éviter les métros, a pris une pause avant de se rendre compte qu’il doit documenter ce moment historique. “Pour le premier mois de l’abri sur place, il était difficile de me quitter et de tirer. Des gens supposent que la ville est vide serait de me motiver et être présent une fois dans une vie occurrence, la ville vide, mais c’était le contraire, j’ai senti que c’était une coquille de lui-même et je ne voulais rien de lui. Ce qui rend la Ville de New York, ce sont les gens qui vivent et travaillent ici, qui pour moi, est ce que NYC est – Maintenant, je pousse les gens que je connais et qui ont séjourné à essayer et à faire un certain sens de la nouvelle « norme » peut être essayer de s’adapter et de gérer leur entreprise ou tout simplement comment ils se sentent. C’est à la maison et nous sommes arrivés à courber l’échine et faire de notre mieux pour vivre cela.”
Quand il était prêt à voir la ville, il a vu un énorme changement: “l’énergie et La force vitale qui est NYC n’est pas là. Beaucoup de ce qui est de New York est l’interaction sociale, que ce soit professionnel ou occasionnel. C’est différent des groupes de personnes en symbiose avec l’un l’autre dans un café, un bar, un restaurant, ou en face d’une pizzeria, les connexions sont faites, surtout si vous êtes dans un domaine de la création, comme la photographie.”
Il dit que la ville est maintenant lui rappelle d’une petite ville, dans le coeur: “New York est pour la plupart vides, la plupart des gens qui pourraient laisser, a fait et tout ce qui reste sont ceux qui ne peuvent pas ou ont choisi de ne pas le quitter. Les rues qui sont normalement bourdonnement, comme Soho, le Lower East Side, et midtown sont relativement vides. Les quartiers, à l’instar de Sheepshead Bay, de Harlem et de ces, il y a des gens, mais pas autant.”
Cousins parcourt la ville en vélo, qu’il appelle la méthode la plus simple et la plus sûre façon d’obtenir autour de la ville. Il a été la réflexion sur le temps à venir: “j’espère que l’avenir de la ville conduit à plus de communauté. J’avais de la haine pour cette épidémie pour nettoyer/prix les artistes et musiciens qui ont si bien aidé à établir la culture de new york. Il y a de l’espoir pour une diverse et éclectique de la ville si nous pouvons protéger nos immigrants qui ont dûment contribué à l’élévation et à l’ambiance colorée. J’aimerais aussi voir plus de fêtes de quartier, et les rues fermées le week-end. La pandémie a souligné l’importance de disposer d’un espace sécurisé à l’extérieur mais également de se connecter avec ceux autour de vous. Pourquoi ne pas continuer à fermer les principales routes le week-end pour permettre aux piétons de profiter des rues de la ville ils frottent.”
Le temps de l’instant, cependant, est une perplexité de perplexité et encore de la mélancolie. “New york est sur le point. Je ne suis pas tout à fait sûr de ce qu’il est sur le point de, mais tout le monde peut le sentir. Come-back? Résurgence? De toute façon, avec le temps chaud, des restaurants et des bars sont à adapter et utiliser ce temps pour attirer NY livres et de garder leurs lumières. Honnêtement, les mêmes choses qui ont fait de NYC emblématique, est la même chose qui se procurant un sentiment de normalité. Le non-respect des règles et de la contre-culture de toutes sortes. On pourrait dire de boire dans la rue est légal sur ce point,” il a dit. “Il se divise la ville en termes de nouvelles mettant en évidence la disparité qui existe déjà entre le travail et la classe supérieure. Et pourtant, il a aussi apporté des communautés. À partir de 7 h, les premiers intervenants de la célébration des traditions chez les voisins pour les efforts comme Bedstuy Forte.”
Alors que la crise de la coronavirus pandémie a soulagé de New York, COVID-19 est encore tuant environ 100 personnes par jour dans tout l’état. Il y avait 96 décès dimanche, selon des chiffres publiés lundi.
Comme le week-end des vacances approchait, New York Gouv. Andrew Cuomo desserré coronavirus des restrictions liées à la semaine dernière pour permettre à de petits rassemblements publics — au départ, juste pour la Journée de commémoration des observances et des services religieux.
Il a étendu la assoupli les règles de vendredi à tous les rassemblements après le New York Civil Liberties Union a poursuivi en disant que s’il était sûr de se rassembler pour honorer les anciens combattants et la pratique de la religion, de la Constitution exige que le même droit d’être étendu à d’autres rassemblements.
Les règles de permettre des rencontres d’autant que 10 personnes, à condition que les participants séjour d’au moins 6 pieds de distance l’un de l’autre ou de se couvrir le visage, lorsque l’incapacité de maintenir cette distance.
Cuomo a rejoint une cérémonie privée à l’Intrepid Sea, Air & Space Museum à Manhattan, à la fois avec les sacrifices des militaires et le défi du coronavirus sur son esprit.
“Plus de 100 000 Américains vont perdre leur vie à cette COVID virus. Comment pouvons-nous l’honneur d’eux? Nous leur honneur par les plus forts ensemble”, dit-il.
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Pabón croit sa ville va créer un nouveau normale comme un reboot d’un temps passé: ce qui se passait juste au début de l’année est maintenant mort.
“je pense qu’il y aura un exode important à New York. Les seules personnes qui restent sont ceux qui veulent rester et ceux qui ne peuvent pas quitter. L’idéaliser de New York, l’expérience va mourir à la New York de la réalité. Il aura lieu comme les années 80, quand tout ce qui vivaient ici l’artiste et de la classe ouvrière.”
