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Le médicament contre le paludisme hydroxychloroquine il n’est pas efficace dans la prévention des patients de contracter le coronavirus, une nouvelle étude suggère.
Comme le COVID-19 pandémie répandue dans le monde entier, le gouvernement et les organismes de santé pressés de trouver un moyen d’enrayer l’infection en utilisant les traitements médicamenteux. Les études initiales, en particulier en France et en Chine, a suggéré que l’utilisation de l’hydroxychloroquine en combinaison avec des antibiotiques pourrait accélérer la récupération.
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le Président Donald Trump a été un fervent partisan de la drogue, même en prétendant l’avoir prise pour prévenir l’infection.
Une étude publiée dans Le New England Journal of Medicine montre que, au moins, le médicament n’est pas efficace dans la prévention d’une personne de contracter le virus une fois exposé.
“Ce fut un grand essai contrôlé randomisé, fait par des gens très bien. L’Hydroxychloroquine n’a pas de fournir un avantage notable”, le Dr William Schaffner, un spécialiste de l’Université Vanderbilt, a déclaré.
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L’étude, menée par des chercheurs de l’Université du Minnesota et du Canada, utilisés 821 participants qui avaient été exposés au virus. Les participants étaient des travailleurs de la santé et les personnes qui peuvent avoir été exposés à un membre de la famille infecté.
Aucun des participants, âgés de 33 à 50, présentaient des symptômes et ne présentent pas sous-jacentes des problèmes de santé. Dans les quatre jours d’exposition, les chercheurs ont fourni de façon aléatoire, soit l’hydroxychloroquine ou un placebo.
les Chercheurs ont constaté « l’hydroxychloroquine n’a pas de prévenir les maladies compatible avec COVID-19 ou confirmés d’infection lorsqu’il est utilisé comme traitement prophylactique post-exposition dans un délai de quatre jours après l’exposition. »
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“Le message à retenir pour le public en général est que si vous êtes en contact avec quelqu’un qui COVID-19, l’hydroxychloroquine est pas efficace post-exposition, la thérapie préventive,” l’auteur principal de l’étude, le Dr David R. Boulware, de l’Université du Minnesota, a déclaré dans une interview avec le New York Times.
La plus grande préoccupation dans l’utilisation de la drogue est la liste de blanchisserie d’effets secondaires possibles, avec un accent particulier sur la possibilité d’insuffisance cardiaque modérée ou sévère bronchospasme ou de pensées suicidaires. L’étude a révélé que plus de participants, soit près de 40 pour cent contre 17 pour cent – étaient susceptibles de souffrir d’effets secondaires, mais aucun ne présentaient les plus graves.
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L’appui du président de la drogue a conduit à la Food and Drug Administration rapidement la recherche sur l’efficacité du médicament. L’étude n’a pas d’adresse si l’hydroxychloroquine peut prévenir l’infection si elles sont prises avant l’exposition, mais d’autres études abordent cette possibilité.
