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Prévisions météorologiques nationales pour le 21 janvier
Janice Dean, météorologue principale de Fox News, a vos prévisions météorologiques FOX.
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Les scientifiques ont théorisé que les blocages de COVID-19 pourraient avoir contribué à réduire la quantité de foudre produite dans l’atmosphère en 2020, selon une étude récente.
Une étude présentée à la réunion d’automne de l’American Geophysical Union (AGU) a analysé les facteurs atmosphériques qui pourraient avoir contribué à des réductions de 10 à 20%, selon la façon dont la foudre est comptée.
Il s’agit d’une combinaison de cinq expositions suivantes de 30 secondes. La vue traverse la plage et le golfe du Mexique depuis l’île Anna Maria, en Floride.
Earle Williams, météorologue physique au Massachusetts Institute of Technology et auteur principal, a déclaré que l’équipe avait utilisé trois méthodes différentes pour mesurer la foudre, mais toutes les méthodes indiquaient une réduction de l’activité.
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L’étude s’est concentrée sur la profondeur optique des aérosols (AOD), qui mesure les particules produites par la combustion de combustibles fossiles. Ces particules peuvent agir pour accélérer et améliorer la collecte de vapeur d’eau et la formation de nuages.
Tonnerre, éclairs et pluie pendant la tempête estivale. (iStock)
Plus de particules absorbent plus d’humidité, limitant la quantité de pluie et créant de petits cristaux de glace qui entrent en collision dans le nuage et accumulent les charges qui créent généralement la foudre. L’étude a comparé l’activité de la foudre et les niveaux d’aérosols entre mars et mai 2020 à la même période de 2018 à 2021.
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L’AGU a noté que la réduction de la foudre était généralement cohérente avec la réduction des particules d’aérosol dans les mêmes régions en Afrique, en Europe et en Asie. L’étude a noté des réductions moindres sur une grande partie des Amériques.
New York, NY, États-Unis – 6 avril 2020: Un homme portant un masque de protection traverse la 6e avenue des Amériques dans le centre de Manhattan déserte en raison du verrouillage de la ville causé par la pandémie de COVID-19. (iStock)
Les zones présentant des diminutions plus importantes d’aérosols présentaient des réductions similaires plus importantes de l’activité de la foudre.
La réduction des aérosols semble avoir eu un certain nombre d’effets liés.
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Une étude publiée à la fin de l’année dernière a révélé que la réduction de la pollution de l’air pouvait également entraîner moins de crises cardiaques. Les chercheurs ont constaté que la concentration quotidienne moyenne de particules mesurée sous 2,5 micromètres de diamètre – la limite à laquelle les médecins disent que les polluants peuvent contribuer à un risque accru d’infarctus du myocarde, la forme la plus grave de crise cardiaque.
Julia Musto de Fox News a contribué à ce rapport.
