«Ce sont des conneries. N’importe qui avec un QI un tant soit peu correct comprendra la situation. Je ne vais pas commenter davantage parce qu’il va y avoir une procédure», a-t-il simplement répondu après sa victoire contre le Français Ugo Humbert (26e) au deuxième tour du Masters 1000 parisien 6-4, 6-7 (7/3), 7-6 (7-5) après 3 h 29 minutes de jeu.
A la requête du parquet de Berlin, le tribunal «a émis le 2 octobre une ordonnance pénale contre le joueur de tennis professionnel Alexander Zverev», soupçonné de «coups et blessures», selon un communiqué. «Il est reproché à l’accusé d’avoir, en mai 2020 à Berlin, maltraité physiquement une femme dans le cadre d’une dispute et d’avoir porté atteinte à sa santé».
Le tribunal n’a pas cité le non de la plaignante. Mais dans un communiqué séparé, les défenseurs du joueur ont réagi à l’annonce du tribunal et cité le nom de Brenda Patea, son ancienne compagne. Alexander Zverev «conteste l’accusation et a fait opposition à l’ordonnance», a précisé le tribunal, ce qui ouvre la voie à une comparution. Le cabinet d’avocats Schertz Bergmann, qui représente le joueur, a affirmé dans un communiqué posté sur X que les faits tels que décrits par Mme Patea «et qui sont seuls à la base de l’ordonnance ont déjà été rejetés par un rapport médical».