closeVideo
Philonise Floyd sur la mort de son frère, les appels à la justice
Philonise Floyd, le frère de George Floyd, Benjamin Crump, l’avocat de l’Floyd de la famille, et Shareeduh Tate, cousin de George Floyd, rejoignez Arthel Neville pour discuter de la mort de George Floyd dans les mains de la police de Minneapolis.
Le frère de George Floyd fait un ardent plaidoyer mercredi, exhortant le top des droits de l’homme du corps de l’organisation des Nations Unies pour lancer une intense surveillance internationale de systémique, le racisme, le meurtre de noirs par la police et la violence contre des manifestants pacifiques dans les États-unis.
Philonise Floyd, dans un message vidéo adressé au Conseil des Droits Humains, a soutenu un appel par des dizaines de pays de l’Afrique de l’espoir de créer une Commission d’Enquête du conseil de l’outil le plus puissant de contrôle — rapport sur le racisme et la violence contre les manifestants par la police aux états-UNIS
Philonise Floyd, à gauche, le frère de George Floyd parle (via un message vidéo) au Conseil des Droits Humains de l’organisation des Nations Unies à Genève, en Suisse, Mercredi, le 17 juin 2020 au cours d’un débat d’urgence sur courant raciste inspiré des violations des droits humains, systématique, le racisme, la brutalité de la police à l’encontre des personnes d’ascendance Africaine et de la violence contre les manifestations pacifiques. (Martial Trezzini/Keystone via AP, Piscine)
L’effort sans précédent pour former un potentiellement mal à l’aise coup de projecteur sur les états-UNIS, qui s’appelle le monde “les principaux défenseurs” des droits de l’homme, comme il n’a pas de voix dans la salle: L’Atout de l’administration sorti des 47 membres du corps il y a deux ans.
Floyd rejoint l’U. N. des droits de l’homme chef de, au conseil indépendants de rapporteur sur le racisme, et de nombreux diplomates à un “débat d’urgence” mis de l’avant par le Groupe de l’Afrique dans le sillage de la mort de son frère. George Floyd, un homme noir, est décédé après un blanc de Minneapolis officier de police appuyé sur un genou dans son cou pendant près de 10 minutes, comme il a plaidé pour l’air et finalement cessé de bouger.
“je suis le gardien de mon frère. Vous dans l’organisation des Nations Unies sont vos frères et sœurs des gardiens de l’Amérique — et vous avez le pouvoir de nous aider à obtenir justice pour mon frère George Floyd,” Philonise Floyd dit. “Je vous demande de l’aider. Je vous demande de m’aider. Je vous demande de nous aider — les noirs en Amérique.”
CLIQUEZ ICI POUR le CORONAVIRUS COUVERTURE
Le conseil a régulièrement abordé la brutalité de la police et le profilage racial aux États-unis, et ils ont été les principaux thèmes au cours de son dernier tour il y a cinq ans pour un examen régulier de ses des droits humains à tous les pays, de passer par le conseil.
Mais jamais les États-unis d’enregistrement dans les zones de verminization et la déshumanisation conduit à un “débat d’urgence” sur les réalisations dans ces domaines — et certains rivaux se jeta sur lui.
la Russie est envoyé accusé les États-unis d’ignorer le racisme depuis des décennies, et tourné en dérision une “critique de l’état des droits de l’homme” aux états-UNIS de la Chine représentant a déclaré que son pays était “attristé et choqué” par Floyd est mort, disant que ce n’était pas un cas isolé et un exposé “chroniques et les racines profondes de la discrimination raciale” aux États-unis.
L’ambassadeur des états-UNIS à Genève, Andrew Bremberg, dans une déclaration avant le débat — reconnu “lacunes” dans les États-unis, y compris la discrimination raciale et a insisté pour que le gouvernement était “transparent” à propos de traiter avec elle.
le Président Trump a condamné les actions des agents de police qui ont été liés à George Floyd est mort, et le mardi signé un décret sur la réforme de la police.
“Les États-unis reconnaissent et s’est engagé à faire face à ses lacunes, y compris la discrimination raciale, et les injustices qui découlent de cette discrimination, qui persistent dans notre société”, a déclaré Bremberg. “Toute démocratie est confrontée à des défis — la différence est la façon dont nous traitons avec eux.”
L’ordre exécutif, Bremberg a déclaré dans un communiqué, est “un exemple de la façon transparente et réactive nos chefs de gouvernement sont à tenir les contrevenants responsables de leurs actes et de la réforme de notre propre système.”
L’U. N. adossés conseil, qui compte 47 états membres, a également été discuté d’un projet de résolution lancées par le Groupe de l’Afrique qui distingue les États-unis. Le texte réclame une commission d’enquête pour examiner et faire rapport sur “le racisme systémique” et les abus à l’encontre “des Africains et des personnes d’ascendance Africaine” aux états-UNIS et au-delà.
Ces travaux devraient être effectués “en vue de traduire les auteurs en justice”, affirme le texte.
Appelant les états-UNIS dans le monde“, défenseur de premier plan” pour les droits de l’homme, Bremberg, a déclaré: “Nous ne sommes pas au-dessus de contrôle; toutefois, toute HRC (Droits de l’Homme du Conseil de résolution sur ce sujet, qui appelle les pays par le nom doit être inclusive, en notant les nombreux pays où le racisme est un problème.
“Nous appelons tous les gouvernements à faire preuve du même niveau de transparence et de responsabilité que les états-UNIS et nos partenaires démocratiques pratique,” Bremberg dit, faisant des allusions voilées à l’Iran et à la Chine au cours de leurs supposés défauts quand il s’agit de droits de l’homme, trop.
Il fait allusion aux récentes accusations de “camps de concentration visant à une minorité ethnique” et une politique de “systémique de la discrimination raciale à l’encontre des ressortissants d’Afrique au cours de la COVID-19 crise” — une référence pour les centres de détention pour la Chine de la minorité Ouïghoure et les allégations de discrimination raciale contre les noirs en Chine au cours de l’épidémie de coronavirus.
Bremberg ont pointé du doigt “un autre état membre brutalement les meurtres de plus de 1 500 manifestants pacifiques”, dans une référence à une vague de répression contre des manifestants anti-gouvernementaux en Iran en novembre. Ce chiffre est bien au-delà de l’304 personnes qu’Amnesty International a estimé ont été tués.
Anne Bayefsky, directeur de la Touro Institut des Droits de l’Homme et de l’Holocauste et le président des Droits de l’Homme des Voix, est également interrogé sur le débat et la résolution.
“L’U. N. « les Droits Humains » Conseil se prépare maintenant à créer une Commission d’Enquête en se concentrant sur les violations des droits humains aux États-unis. Le Concile lui-même n’a jamais créé une Commission d’Enquête sur la Mauritanie – une capitale mondiale de l’esclavage, sur l’Arabie Saoudite – le gazon à la maison pour le sexe de l’apartheid–sur l’Iran – le leader mondial de la terreur et de l’antisémitisme–sur la Chine – l’épicentre de préjugés ethniques–ou sur la Russie – systémique, praticien de la LGBTQ de l’oppression,” elle a dit à Fox News mercredi après-midi.
Les etats-UNIS n’a participé à aucun des trois fois par an des sessions du conseil depuis l’Atout de l’administration sorti en juin 2018, invoquant une prétendue biais anti-Israël et l’acceptation des droits de l’abuser autocratique états membres. Les États-unis ont un droit de répondre comme un “pays concerné”, dans le débat, mais n’a pas été prévu de l’utiliser, du moins, pas en personne.
CORONAVIRUS: CE que VOUS DEVEZ SAVOIR
Le débat devrait se poursuivre jeudi, lors d’un vote sur l’Afrique de résolution pourrait venir.
Philonise Floyd, à gauche, le frère de George Floyd parle (via un message vidéo) au Conseil des Droits Humains de l’organisation des Nations Unies à Genève, en Suisse, le mercredi, le 17 juin 2020 au cours d’un débat d’urgence sur courant raciste inspiré des violations des droits humains, systématique, le racisme, la brutalité de la police à l’encontre des personnes d’ascendance Africaine et de la violence contre les manifestations pacifiques. (Martial Trezzini/Keystone via AP, Piscine)
Bayefsky, des droits de l’homme savant et militant, a ajouté: “aujourd’Hui, les Droits de l’Homme du Conseil de ‘débat d’urgence « recommandés par la Syrie d’armes chimiques, les aficionados de faire la leçon aux États-unis sur les solutions pour « brutalité » et » l’inégalité sociale.’ Les membres de l’U. N. des Droits de l’Homme du Conseil qui va voter sur l’avenir de la résolution d’inclure certains des pays les plus épouvantables exemples de racisme, de discrimination raciale et religieuse, de la xénophobie et de l’intolérance qui y est associée, comme la République Démocratique du Congo, la Somalie, le Soudan et la Libye.
« Le plus triste de l’invocation de l’U. N. soi-disant » Droits de l’Homme Conseil » afin d’encourager les réformes dans une société démocratique comme les États-unis, c’est que l’U. N. plomb des droits de l’homme corps est un véhicule global de couverture et de promouvoir l’intolérance, de ne pas l’éradiquer. L’hypocrisie, le double des normes, le mensonge et la duplicité n’est pas une recette pour le progrès moral.”
de Nombreux pays, y compris d’autres pays Occidentaux comme les états-UNIS, a lancé un appel pour plus de temps pour discuter de l’Afrique de résolution du Groupe, mais prononcé à une écrasante majorité de soutenir les efforts de lutte contre le racisme.
les Défenseurs de la résolution de dire de tels abus dans les états-UNIS sont trop communs en dépit d’un travail du système judiciaire, et c’est maintenant le temps d’agir — grâce à l’intensification de l’examen.
L’Associated Press a contribué à ce rapport.
