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L’évacuation des réfugiés afghans se poursuit après la sortie des États-Unis
Greg Palkot de Fox News rapporte la dernière.
La guerre américaine en Afghanistan a pris fin la semaine dernière. Après 20 ans, la plus longue guerre américaine a pris fin avec la sortie des dernières troupes américaines de Kaboul.
Mais les militaires américains du monde entier étaient toujours très occupés à évacuer les Américains, les Afghans et d’autres personnes des griffes des nouveaux dirigeants talibans. Y compris ceux stationnés sur l’immense base aérienne américaine de Ramstein en Allemagne, une plaque tournante de transit clé pour ceux qui quittent l’Afghanistan pour se rendre aux États-Unis.
« Cela a été à peu près sans arrêt », a déclaré le capitaine James Dimmick, qui gère les opérations aériennes de la base, à Fox News. « Nous avons été 24 heures tous les jours de la semaine jusqu’à présent. getting Juste faire entrer et sortir le plus de gens possible. »
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D’énormes avions de transport C-17 ont transporté les Afghans directement depuis Kaboul ou via d’autres bases dans des endroits comme le Qatar. Ensuite, une fois les réfugiés contrôlés et contrôlés, ils embarquent dans des avions commerciaux spécialement affrétés pour se rendre aux États-Unis.
Le commandant de Ramstein, le brigadier général Joshua Olson, nous a dit qu’il s’agissait de » humanity humanité et espoir. »
Parfois, ceux qui volent ne sont pas en pleine forme. Comme les 20 marines blessés et d’autres militaires qui y ont été évacués après l’attaque terroriste meurtrière de l’Etat islamique à l’aéroport de Kaboul. Ils ont été soignés à l’hôpital militaire américain voisin, le Centre médical régional de Landstuhl. Certains aussi étaient proches de la mort. Tous ont été traités jusqu’à ce qu’ils soient suffisamment bien pour être rapatriés au centre médical Walter Reed aux États-Unis.
« Ils peuvent sortir et faire ce qu’ils doivent faire what ce que leur pays leur demande de faire », a déclaré le colonel Jodelle Schroeder, chef des soins infirmiers à l’hôpital, à Fox News, « parce que nous les soutenons. »
UNE UNITÉ DE L’ARMÉE POSTE UNE PHOTO DU DERNIER SOLDAT AMÉRICAIN À QUITTER L’AFGHANISTAN
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Les membres du service américain du personnel de la base massive de Ramstein accueillent les réfugiés afghans (Greg Palkot)
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Des avions commerciaux (Unis, par exemple) sont affrétés par le gouvernement américain pour transporter les évacués vers les États-Unis (Greg Palkot)
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Les réfugiés attendent d’être transportés aux États-Unis (Greg Palkot)
transporté aux États-Unis. Alors que les États-Unis tentent de faire demi-tour pendant trois jours, certains réfugiés nous ont dit qu’ils étaient là depuis une semaine ou plus. (Greg Palkot)
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Les réfugiés vivent dans des tentes bronzées en attendant l’approbation finale et le transport. (Greg Palkot)
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Les avions de transport militaires C-17 amènent des réfugiés à Ramstein directement de Kaboul et via d’autres bases comme Doha au Qatar. (Greg Palkot)
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Des installations de logement ont été mises en place pour loger les Afghans qui ont été évacués lors du retrait de l’armée américaine. (Greg Palkot)
Quant aux Afghans eux-mêmes, ils avaient des sentiments mitigés lorsque nous leur avons parlé, mais ils étaient reconnaissants d’être sortis du chaos du pays.
« Je pense que le pays va dans le mauvais sens », a déclaré l’un d’eux à Fox News. « Ce ne sera plus la même chose qu’avant. »
« Je ne pense pas que l’avenir sera très bon », a déclaré un autre.
Ils ne se font aucune illusion sur les nouveaux dirigeants talibans après avoir vu ce que les islamistes extrêmes ont fait il y a 20 ans lorsqu’ils ont dirigé le pays pour la dernière fois.
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« Nous avons une histoire avec les Talibans », a affirmé un Afghan. « Nous les avons vus une fois auparavant enemies les ennemis ne changent jamais. »
Et beaucoup s’inquiétaient des milliers de personnes laissées derrière elles, y compris des membres de leur famille, potentiellement en danger suite au retrait et à l’évacuation rapides des États-Unis.
» Nous avons une histoire avec les Talibans », a affirmé un Afghan. « Nous les avons vus une fois auparavant enemies les ennemis ne changent jamais. »
« Mon frère, ma famille, tous les gens qui ont travaillé pour l’armée américaine, ils sont toujours là », a encore expliqué un autre Afghan. « Ils sont bloqués. »
Nous avons demandé au commandant général Olson s’il avait voulu plus de temps. « Nous voulons toujours plus de temps », nous a-t-il dit, » plus de temps … et plus de sommeil! »
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En ce qui concerne cette période représentant la fin de la guerre américaine en Afghanistan, la plupart des militaires y étaient également trop occupés pour passer beaucoup de temps à y réfléchir. Mais plusieurs nous ont dit que les près de 20 ans de combats là-bas ont essentiellement suivi toute leur carrière dans l’armée. Il y a un enjeu personnel.
» Tout en valait-il la peine? »J’ai demandé au lieutenant-colonel Elizabeth Dwyer, en poste en Allemagne. « Absolument », répondit-elle.
« Sauver des vies? »J’ai suggéré.
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« C’est ce que nous faisons », a-t-elle déclaré avec emphase.
Ils font ça … et bien plus encore. Le débat politique mis à part, sur une démonstration vivante et émotionnelle au centre militaire américain crucial en Allemagne la semaine dernière, entre Américains et Afghans: dévouement, soulagement, inquiétude … et, oui, humanité.
