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Le Berkeley Conseil municipal a voté mardi à l’interdiction des gaz lacrymogènes pour de bon, et d’arrêt de la police de l’aide d’un spray au poivre et de fumer pendant le déroulement des manifestations au cours de l’coronavirus pandémie, selon un rapport.
« L’ère du militarisme est plus » et « les enjeux sont de notre liberté », councilmember Ben Bartlett dit, comme Berkeleyside signalés.
Le conseil a pris sa décision au milieu des semaines de manifestations dans tout le pays contre la brutalité de la police à la suite de la mort de 46 ans, George Floyd entre les mains de Minneapolis agents de police. Mais, les appels à la justice pour Floyd et d’autres de plus en plus ont évolué en anti-police de la rhétorique, avec des manifestants qui réclamaient la defunding ou du démantèlement des départements.
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Berkeley maire, Jesse Arreguín, a exprimé son soutien à des décisions du conseil sur Twitter, a écrit que « le gaz lacrymogène est interdit dans la guerre et ne doit pas être utilisé dans nos rues ou dans les manifestations. »
Arreguín avait initialement proposé une interdiction temporaire de gaz lacrymogènes, de la fumée bidons et de poivre de cayenne en vertu de l’état de santé des restrictions. Councilmember Cheryl Davila ensuite proposé l’interdiction des gaz lacrymogènes au total, selon le rapport.
au Cours de la délibération, un membre du conseil a demandé à Berkeley Chef de la Police Andrew Greenwood quels “autres outils” Berkeley police pourrait utiliser sous la menace de manifestations violentes. “Les armes à feu. On peut tirer sur les gens, répondit-il.
Greenwood plus tard, revint sur ses remarques. “Vous savez, elle ne reflète pas ma compassion pour le service”, dit-il, à la destruction à la suite de plusieurs appels à sa démission. “On m’a demandé: « quels sont les outils que vous avez,’ j’ai répondu comme je l’ai fait. Je suis fatigué, que mon peuple”.
“je l’ai dit, nous n’avons rien d’autre”, Greenwood a continué. “La police elle-même est la brutalité,” un local accusé.
La ville devrait réduire le budget de la police par 50 pour cent et de prendre d’autres mesures immédiates pour résoudre les problèmes, il a dit: “Des communautés de police obsolète.”
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Davila a ensuite demandé à l’avocat de la ville pour expliquer ce qu’il faudrait pour dissoudre le TPL.
“Nous devons faire tout ce que nous pouvons pour l’abolition de la police dans la façon dont nous savons qu’ils existent actuellement. Nous avons besoin d’avancer, de faire preuve de courage,” Davila affirmé. “Noir vie font vraiment la différence.”
