l’Empereur Auguste? Adonis? En tant que Sculpture et puis, comme la Photo pour l’Éternité? Comme je l’premières Têtes de Série, la « Transformation par la Lumière » de Helmar Lerski ai vu, j’étais aussi de sa Beauté, stupéfait, comme d’insécurité au sujet de ce que j’ai fait a vu. Le Visage semblait se transformer, comme dans le Sommeil: De majestueux Orgueil d’une Statue antique, avec son programme, de la Masculinité, comme ils le Bronze et le Marbre de la transférer à un contre la Chaleur ou le Désir de tomber de fatigue et sensuelle Rêveur. Un « Ausgangsfoto » cette Série m’a regardé avec un rothaariger Homme avec beaucoup sémitiques Trains. Mais déjà la Photo suivante a supprimé cette Impression. Plus de Visages, je regardait, moins ai-je pu croire qu’ils sont tous d’une Personne appartenaient.
Le Caméraman et Photographe Helmar Lerski a, en 1936, un total de 175 Photos de l’Ingénieur Bernois Leo Uschatz. Il l’a photographié sous le Soleil de plomb sur le Toit de son Appartement à Tel-Aviv. N’est pas l’habituel nord de la Lumière de la Porträtkünstler, mais la Lumière « de partout », a Lerski utilisés comme un Outil (et jusqu’à seize Miroir), comme un Sculpteur de son Matériel sur les Visages de ciseaux. Ce que vous avez sur ces deux Images de l’intuition, qui se déroule dans d’autres Métamorphoses.
Dans cette Série, on ne trouve Identité solide, mais infinie Diversité: On « reconnaît » Napoléon et Apollo, Mephisto s’assombrit à un Mineur, et puis on rencontre les Totenmasken d’un vivant par un Ingénieur. Arrogant, démoniaque, absent, jamais souriant, le Visage reste un Mystère. Il peut sembler parfois les Visages aux jeux olympiques, aux points de vue de Leni Riefenstahl, ou même de l’Esthétique fasciste de Arno Breker à proximité. Les nordiques, les ailes du Nez, le fort de Menton, il ne manque plus que le Casque. Deux Juifs sur un Toit, à Tel-Aviv, les soudures en 1936, l’héroïque, de l’Esthétique, qui à cette Époque, en Europe, contre lui.
Helmar Lerski a été comme Israël Schmuklerski 1871, à Strasbourg, dans un polonais Famille juive. Il a grandi à Zurich, est allé à l’âge de vingt Ans en Amérique, où il Théâtres germanophones Charakterrollen joué. En 1915, il arrive à Berlin dans les années vingt, Ans en tant qu’Expert pour Spiegeltechnik et Caméraman très rapidement, dans « Metropolis » de Fritz Lang, il est le responsable des effets spéciaux. En 1931, il produit l’album de photos « Têtes de la vie Quotidienne », à première Vue, comme une Variation d’August Sanders « Visage du Temps » (1929) apparaît. Aussi Lerski photographié Cocher, femme de chambre, Serrurier, mais, au quotidien, de l’Environnement, de la Classification des Professions et des Emplois comme Sander intéressent Lerski pas. Il a photographié les « nus » Têtes Surdimensionnées, met en Lumière, au-delà des Attributs de leur Profession ou leur Statut.
il en résulte une Anthropologie, et même très théâtrale. Les Gens sont des Acteurs, par le dramaturgique de la Lumière du Photographe les différents Rôles sont capables. Même dans le Visage d’un Mendiant, un Poète à être découvert. Le Visage soudain « insondable de Possibilités » (Kracauer), la Possibilité de radicalement différent de son Propriétaire.
en Fait, suit Lerski la Logique interne de son Art de la Logique de la Lumière. Même son Déménagement vers la Palestine en 1931, explique-t-il de l’amélioration des conditions de Luminosité. Sous cette Lumière, tout en Évidence: sa salle de Spectacle, son expressionistischer Kameramannblick et sa Conviction d’être un Homme avec une seule Image ne peut pas la lire. Dans la « Transformation de la Lumière » perd le Visage de son Objectivité, dans une très belle Apparence se transforme. Dans cette Métamorphose, il y a tout un Éventail de Rôles, mais pas de la Psychologie. La Tête se comporte comme une Planète, et le Photographe assure le dramatique demiurgische Ciel.