Enneigée, gelé Rivière. Ciel Laiteux. Tout est blanc. Seulement deux petits Personnages dans la Neige. Comme un Point noir: un Homme au Loin. Il tire un Traîneau derrière lui. Le deuxième Homme porte un Bonnet et un Pantalon sombre. Sa Veste est blanche. Elle se confond cependant pas avec le Fond blanc.
Le Blanc a différentes couleurs: pour le Ciel, pour la Neige, pour les Vêtements. L’Homme fait voler un cerf-volant. Le Dragon semble être libre. Il constitue un univers coloré, tendre Fioritures dans le Monde des blancs. Il a aussi blanche Membres de son Corps invisible. Il dessine un trait pointillé, comme si, lui aussi, dans cette uferlosen Blanc voulons résoudre. Tout est calme et résolu. Nous n’entendez aucun surrendes Bruit du gelbköpfigen Dragon. De même l’Homme, les Mouvements du Vent exerce, avec le Vent, c’est le silence. La Photographe saisit le Moment où le Dragon est juste une Boucle de fait, à partir de la Boucle herausstrebt, de suite, peut-être avec la plus haute Vitesse. Le Moment est gelé. Nous voyons le Looping, le Silence, le Vide.
J’ai Winterfotos française de la Photographe Catherine Henriette à Paris Photo, la plus grande Fotomesse le Monde, entre des Milliers d’autres Images à découvert. Dans l’univers coloré de la Messe, je me suis resté dans les mémoires comme une Césure, comme une Pause dans une Série infinie de propositions visuelles. C’est sûrement l’Effet de guérison de la Neige, mais aussi de l’inattendu Effraction dans la Réalité: Les blancs, les Images ont pesé sur les Murs blancs comme un illusionnisme, Peinture, Mur, dans une troisième Dimension s’ouvre.
Ces Images déplacé à moi seul, déjà par son Format Inhabituel petit signe vous de moi avec leurs minimaliste Caractères s’approche. On connaît cet Effet: Si quelqu’un à voix basse, puis d’entendre tout d’un coup tous. Je me suis approché et j’ai regardé la Série « Conte d’hiver » (« conte d’Hiver ») à partir de la Chine de plus près. L’interminable Espace blanc, ces Images il dit, était représenté en miniature, portable, domestiqué pour l’Âme.
