«Il y a, à mon avis, quelques équipes de trop, des équipes n’ayant pas le meilleur niveau international avec des jeunes qui frottent sans marge de manœuvre. Elles passent avec à peine la place pour le guidon, alors forcément ça touche partout. Certaines ont peut-être un manque d’attention aussi. Des femmes qui rentrent de plein fouet dans un peloton par terre comme lundi, ce n’est pas normal. Selon moi, 144 coureuses au départ, ça fait beaucoup. Mais les chutes arrivent toujours», a expliqué la championne aux cinq titres mondiaux de la course en ligne (1985-1987, 1989, 1995), trois Tours de France (1987-1989) et un titre olympique (1996).