«On peut comprendre aujourd’hui qu’il y a tous ces agriculteurs dans les rues, parce qu’il y a un ras-le-bol. Mais moi, je ne suis qu’un parmi tant d’autres, à ne pas aller au bout d’un projet qui était familial et avec beaucoup d’envie.» a-t-il déclaré au micro de BFMTV ce vendredi matin.Passionné par son nouveau métier, Louis Picamoles a expliqué avoir aussi été touché en août dernier par «l’augmentation des prix, le coût des matériaux et les taux bancaires qui ont explosé» et a aussi déploré un processus administratif lourd.