Scène surréaliste en conférence de presse. L’Irak s’est fait sortir de cette compétition par la Jordanie dans le temps additionnel en huitième de finale (2-1). Alors qu’elle menait au score, la sélection de l’Espagnol Jesus Casas s’est fait rattraper, ce qui n’a pas plu à la presse locale. Doux euphémisme.

Après la rencontre, de nombreux journalistes lui ont reprochés vertement d’avoir donné trop d’interviews durant cette compétition et que c’était la raison de cette défaite. Certains étaient même sur le point d’en venir aux mains avec le sélectionneur. La Fédération irakienne de Football a dénoncé ces «scènes douloureuses» et a annoncé que des sanctions seront prises afin de «préserver la réputation» de son sélectionneur.