Le groupe informatique français en difficulté Atos a revu sensiblement en hausse ses besoins de financement, dans un nouveau plan d’affaires dévoilé lundi, après un début d’année moins florissant qu’escompté au niveau de son activité. L’ex-fleuron de la French Tech, qui a aussi exprimé sa «satisfaction» après que l’État français s’est manifesté ce week-end pour racheter ses activités souveraines, a précisé qu’il avait désormais besoin de 1,1 milliard d’euros de liquidités pour financer son activité en 2024-2025 (contre 600 millions d’euros estimés précédemment).

Le groupe a dit vouloir réduire de 3,2 milliards d’euros sa dette brute, qui avoisine les 5 milliards, alors qu’il souhaitait initialement la réduire de moitié.

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