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DA de ne pas poursuivre de nombreux Portland manifestants en vertu de la nouvelle politique

Beaucoup moins de personnes font face à des accusations pour leur participation dans Portland émeutes en vertu d’une nouvelle politique à partir de la DA de l’office; Dan Springer a une mise à jour.

des Centaines de manifestants à Portland, qui ont été arrêtés dans le passé 80 jours de manifestations ne seront pas poursuivis, Multnomah County District Attorney Mike Schmidt, a annoncé mardi.

“Les manifestants sont en colère … et profondément frustrés par ce qu’ils considèrent être des inégalités structurelles dans notre tissu social, et cette frustration peut dégénérer à des niveaux qui violent la loi,” Schmidt a dit. “Cette politique reconnaît que des siècles de disparité de traitement de notre le noir et le marron communautés ont laissé de profondes blessures et que le processus de guérison ne sera pas facile ou rapide.”

La politique de gouttes d’accusations contre des personnes qui ont été arrêtés pour outrage à un agent de la paix ou de la libération conditionnelle et l’agent de probation, la conduite désordonnée, pénal d’intrusion, d’évasion, de harcèlement, d’émeute, à moins qu’ils ont été accompagnés par une accusation de violence physique ou de dommages à la propriété.

Portland a été bercé pendant des mois à la suite de la mort de George Floyd, que des manifestants dénoncent l’usage de la force par la police, en particulier à l’encontre des Noirs. Floyd, un homme Noir non armé, est mort en garde à vue à Minneapolis en Mai, une vidéo a montré un officier à genoux sur son cou pour plus de huit minutes.

les manifestations Pacifiques dans la ville de l’Oregon ont sombré dans le chaos comme la police et les manifestants se sont affrontés à l’extérieur de l’enceinte dans le nord et l’est de la ville, le syndicat de la police du siège et un bâtiment qui abrite les locaux de la police dans le centre-ville.

PORTLAND MANIFESTATIONS se DÉPLACER EN  » HABITUELLEMENT CALME la NUIT les RUES, le RAPPORT INDIQUE

Certains agitateurs ont attaqué les agents, lancer des feux d’artifice, des œufs et d’autres objets à la police et faire briller les lasers dans les yeux. Les dirigeants, quant à eux, ont utilisé du gaz poivré et fait de balayer les arrestations pour disperser les foules.

Président d’Atout envoyé les agents fédéraux à Portland en juillet pour tasser la violence et de protéger la propriété du gouvernement fédéral, un mouvement qui a entraîné d’autres troubles.

les Agents de la U. S. Customs and Border Protection, l’Immigration and Customs Enforcement et le US Marshals Service ont finalement reçu l’ordre de quitter la ville après les accusations de non-identifiés officiers faisaient la inexpliquée arrestations et sans cause réelle et sérieuse, les revendications qui sont actuellement à l’étude par le Ministère de la Justice.

Portland Chef de la Police de Chuck Lovell, qui a été informé de la modification de la politique sur vendredi, repoussés contre les nouvelles règles et ont dit qu’ils ne changent pas le droit de l’Oregon, insistant sur le fait que les personnes qui commettent des actes de violence ou intentionnellement des dommages à la propriété devraient être tenus responsables.

“de Commettre un crime est différente de la démonstration,” Lovell a déclaré dans un communiqué. “Les arrestations nous faisons viennent souvent après des heures de dommages à la propriété privée, la perturbation des transports en commun et la circulation sur la voie publique, les vols dans les petites entreprises, les incendies, les cambriolages, les attaques contre les membres de la communauté, et les attaques contre les agents de police”.

Schmidt, le procureur, a souligné que les règles ne s’appliquent pas à la personne qui a commis un acte de violence.

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« Si vous êtes là actes de violence ou de dommages à la propriété, vous serez poursuivi, » il a dit.

à Propos de 550 de protestation liés à des cas ont été référés Schmidt fonction depuis le 29 Mai, seulement 133 crimes. Plus de 350 ont été délits ou des infractions qui ne comprenait pas les revendications de la violence physique.

Schmidt a reconnu que le système judiciaire est déjà faire face à près de deux mois d’arriérés dus au coronavirus pandémie.

L’Associated Press a contribué à ce rapport.