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Boston a interdit à la police d’utiliser la technologie de reconnaissance faciale, devenant la deuxième plus grande communautaire aux états-UNIS pour le faire.
Le conseil municipal à l’unanimité a voté mercredi à l’interdiction controversée de la technologie de l’utilisation et de l’interdire à tout fonctionnaire de la ville à partir de l’obtention du visage de surveillance de le demander par l’intermédiaire de tiers.
« Il est évident que les préjugés raciaux et c’est dangereux », Conseiller Ricardo Arroyo, qui a parrainé le projet de loi, a déclaré avant l’audience, par WBUR. « Mais aussi, elle a un effet dissuasif sur les libertés civiles. Et donc, à un moment où nous voyons tellement de l’action directe sous la forme de marches et de manifestations pour les droits de l’, tout type de technologie de surveillance, qui pourraient être utilisés pour essentiellement de froid de la liberté d’expression ou … plus ou moins le moniteur de l’activisme ou de militants est dangereux. »
ACLU FICHIERS PLAINTE au-DESSUS de la RECONNAISSANCE FACIALE d’ARRÊT
Boston est la dernière ville à interdire l’utilisation par la police de la technologie de reconnaissance faciale. (iStock)
La mesure, qui sera à la tête de Maire Démocratique Marty Walsh bureau avec un droit de veto-la preuve de la majorité, suit des interdictions semblables qui ont été mises en œuvre à Brookline, Somerville et de Cambridge, ainsi que plusieurs villes sur la Côte Ouest.
Arroyo a noté la technologie a été trouvé pour être biaisé et inexacte pour les gens de couleur. Une étude du MIT a trouvé que, pour la plus foncée à la peau des femmes, la reconnaissance faciale programmes avaient un taux d’erreur de jusqu’à 35%.
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“Nous travaillons à la fin de racisme systémique, » Conseillère Michelle Wu, qui a également parrainé le projet de loi, a déclaré avant le vote. « Afin de mettre fin à la … plus-la surveillance des communautés de couleur doit être une partie de cela, et nous sommes véritablement permanent avec les valeurs de la sécurité publique et de santé publique doivent être fondées sur la confiance.”
Le mouvement vient au milieu de manifestations dans tout le pays sur le racisme systémique et la brutalité de la police, et pas longtemps après que les entreprises de technologie, y compris IBM, Microsoft et Amazon soit décidé de stopper leur reconnaissance faciale des ventes de la police ou d’abandonner complètement le secteur.
Un certain nombre de libertés civiles et de la justice raciale défenseurs ont longtemps soutenu que la technologie de reconnaissance faciale est dangereux et devrait être interdit complètement.