On peut la triste Histoire de Jean de Pinneberg et sa Femme, Emma, de lui toujours avec amour Agneaux appelé, a de nombreuses Manières de raconter. Hans Fallada, le Destin des Bourgeois dans « le Petit Homme, et maintenant? », son plus grand Romanerfolg à partir de l’Année 1932, en tant que libéraux et de Abstiegsszenario raconte, dans les Circonstances sociales, dans ce Cas, le taux de Chômage en Allemagne de la Crise économique mondiale, l’Individu ne laissent aucune Chance. Seul le Privé, l’indestructible Amour du Couple, n’est pas anonyme Forces du Marché et de la société de Classes râpée. Un désespéré de Conte de fées avec un sentimental Noyau de Kitschgold.
à Mayence, où Alexandre Nerlich déjà dans de nombreuses Scènes et de versions de votre film destinées interprété Roman maintenant, en tant que de trois heures de Théâtre mise en scène, demeure le plus sombre de la Fin que l’impuissance « de l’Autre » de Jean et d’Agneaux, alors que avec la Bühnenschnee de Lichtflocken sur vous balaie. La vague de Schlussmetapher est la dernière des nombreuses Idées fortes de la mise en Scène vos plus de Force à partir de la Production atmosphérique poète des Images, surtout à Žana Bošnjaks Scène et des Costumes et Frederik Wolleks Lumière sont responsables, en tant que intellectuel Pénétration de référence.
Abstiegsängste de la classe moyenne inférieure
Les Schwarzweißmuster en fond de Scène et sur les Murs, quelques Accessoires et fortement typé, à Stummfilmszenen à partir des Années vingt, rappelant les Costumes surtout des personnages secondaires d’assurer une certaine Abstraction de l’Histoire. En Fait, on cherche en vain quelques Parallèles actuels Abstiegsängsten de la classe moyenne inférieure. Le doit en aucun cas un Inconvénient, car le entsolidarisierte Raubtierkapitalismus, dans « le Petit Homme, et maintenant? » est plus populiste caricaturé comme analyse, il s’avère aujourd’hui, le cas échéant, dans les Formes plus, même si ce n’est quelques Metteurs en scène dans le Théâtre allemand de la Foi sont animés, il était impérieux que jamais.
Nerlich attaque, heureusement, selon le cas partout chaises kapitalismuskritischen de la Cuisse et de renoncer à cher à erlangende Aktualisierungsgewinne. Les nombreux vraiment émouvantes Moments de cette Soirée, tout à fait intacte, le Couple au Centre du dos, il faut pervers sur l’Ironie et la Déconstruction des Sentiments soutenus par Sou d’abord faire confiance. Mais alors concluante et par la même occasion, de Manière touchante, belle, le tout considéré, au Cours de la longue Soirée, mais la Question est: À quelle Fin est vraiment cette Histoire longue d’une Époque révolue raconte?
groteskem Humour parsemé
La Société contre la Violence à l’Agneau et Jean arrivent pas, comme le montre interchangeables et tout à fait derb satirique extrême, les Personnages. Systématiquement, tous les seconds Rôles de cinq Acteurs incarne (Vincent Doddema, Henner Momann, Hannah de Peinen, Paulina Alpes et Daniel Roland), encore et toujours, attaque l’un d’eux au Micro, et sert en tant que Narrateur, pour certaines Transitions nécessaires pour nécessaires dramaturgique Mastic. Donc, le Tout dans des endroits comme une Ballade, une étrangement triste, et fait avec groteskem Humour à s’imposer Ballade. Le Destin individuel est soumis à des Forces supérieures, il n’a pas d’Influence. Et comme ferngelenkte de Marionnettes, d’entraîner les Acteurs toujours muette Körperkämpfe, un Mélange de Pantomime et Expressives (Chorégraphie de Jasmin Hauck et Cecilia Wretemark).
Où l’Individuel, au Centre de la scène, l’Acteur le Fardeau. Mark Ortel est convaincante en Vrac, mais dès le Début, un peu à la défensive agit, comme il porte le Germe de son prochain Déclin déjà. Un peu plus de hauteur de Chute serait plus efficace à l’été.