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NYC détectives de l’union des vœux de poursuivre George Floyd émeutiers qui attaque les officiers
Paul DiGiacomo, président de la Détectives de Dotation de l’Association, il dit qu’il est très frustré par les agressions sur les détectives et le procureur de ne pas poursuivre.
les Membres de la police de new york détectives de l’union sont « très frustré » que l’état du procureur de district aura pas de poursuites pour des agressions sur des détectives par les émeutiers et des manifestants qui protestaient contre la brutalité de la police et de la mort de George Floyd, le président de la Détectives de Dotation de l’Association (DEA) a déclaré jeudi.
Dans une interview sur « Fox & Friends » avec l’hôte Brian Kilmeade, Paul DiGiacomo expliqué sa stratégie de l’union pour engager des poursuites civiles à l’encontre de toute personne qui agresse une Ville de New York détective de la police a été à la charge de cette frustration.
NYC DÉTECTIVES de l’UNION TOURNE LES TABLES, les VŒUX DE poursuivre GEORGE FLOYD ÉMEUTIERS QUI ATTAQUE les OFFICIERS
« aujourd’hui, nous allons après la particuliers. Ils ont commis le crime. Ils ont commis l’agression, » fait-il remarquer.
La DEA a un cas déposée, ils sont dans le processus de dépôt d’une deuxième affaire de tentative de meurtre, et seraient « explorer » un troisième.
Il est difficile de savoir si le procès va réussir, surtout avec les lois en place la protection de la police.
Un manifestant est arrêté sur la Cinquième Avenue par les agents de police de new york au cours d’une mars la semaine dernière sur l’île de Manhattan. (AP Photo/John Minchillo)
« Ce n’est pas une nouvelle tactique par la police. Cela a été tenté dans les années 1990 dans la Ville de New York, à une autre époque où il y avait beaucoup de troubles et en fin de compte, cela n’a pas fonctionné », a déclaré noté avocat des droits civiques et militante chevronnée Ron Kuby.
Selon Kuby, si les détectives voulait poursuivre en justice les citoyens, qu’ils devaient abandonner les restrictions légales de les protéger, comme une immunité relative. Il a également souligné que les villes légalement avoir indemnisé les agents des services répressifs, les empêchant généralement d’être poursuivi personnellement, et il a affirmé à la fois des exemptions devraient être abandonnées.
« Si les policiers veulent utiliser le droit civil comme un outil dans leurs services de police, ceux d’entre nous qui paient leurs salaires ont maintenant l’occasion de s’engager dans une véritable réforme, qui est, un arrêt de l’indemnisation des flics, arrêter le gratuit les avocats de la police, arrêter l’immunité relative à la police, et nous allons voir comment cela fonctionne pour eux, » il a menacé.
« Ces déclarations sont inexactes et il n’est pas à l’émeutes obtenir des bouteilles d’urine et jeté à lui, » DiGiacomo répondu. « Quand il s’agit de l’émeute et ce qui se passe pour lui et il essaie d’affecter à une arrestation, nous allons voir sa réponse ensuite. »
DiGiacomo dit Kilmeade il ne sait pas « ce qui s’est passé à la société à son tour sur la police. »
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« je sais que la plupart de la société a énormément de respect pour la police. Nous sortons tous les jours, à New York, les détectives, nous avons à résoudre les homicides, nous, de résoudre des crimes pour les gens de cette ville. Et, ces gens ont assuré de leur soutien et de reconnaissance pour le travail que nous faisons, » il a noté.
le week-end Dernier, l’ancien de la Ville de New York, le Commissaire de Police Bernard Kerik dit le Juge Jeanine Pirro que des centaines de policiers ont été envisagent de quitter la force au milieu des troubles civils.
« Oh, je ne parle qu’il y a une légère hausse du nombre de départs à la retraite et je ne les blâme pas ces agents, » DiGiacomo confirmé.
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« Écoutez, nous ne sommes pas payé pour y aller et d’être agressé et être abusé sur une base régulière. Aucun travail ne devrait avoir à supporter ce type de violence sur une base régulière et obtenir agressé et ne pas avoir le soutien du procureur de district, du gouverneur, du maire, du conseil municipal, » conclut-il. « C’est ignoble qu’ils ne sont pas la sauvegarde de la police. »
Selon Le Washington Post de la base de données de suivi des tirs sur des policiers, depuis Janv. 1, 2015 1,252 les noirs ont été tués par balles par la police. Le décompte n’inclut pas ceux qui sont morts en garde à vue ou ont été tués par d’autres méthodes.
