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Fox News Flash top titres pour 9 juillet
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Deux Utah agents de police ont été autorisé, jeudi, à la prise de vue de la mort d’un homme armé qui a été tiré à plus de 30 fois lors de l’exécution de loin.
Bernardo Palacios-Carbajal, 22 ans, est mort le 23 Mai, après qu’il a été frappé de 13 à 15 fois, il s’enfuit à partir de deux Salt Lake City agents de police enquête sur un rapport d’une arme de la menace. Ils auraient crié pour Palacios-Carbajal à déposer une arme à feu, ce qui a été vu au sommet de son corps de police corps de la caméra vidéo.
Les deux officiers, Neil Iversen et Kevin Fortuna, collectivement tiré de 34 coups de feu à la Palacios-Carbajal après ils ont confirmé qu’il avait une arme en sa possession, Salt Lake County District Attorney Sam Gill a dit alors d’aller dans le métrage et l’autopsie des photos lors d’une conférence nouvelles.
“Nous refuser de déposer des accusations criminelles contre un agent pour son usage de la force mortelle, » dit-il.
SAN DIEGO VIDÉO MONTRE des OFFICIERS de prise de vue HOMME QUI se GLISSA HORS DE MENOTTES, il a SAISI le PISTOLET
le Procureur de District Sim Gill parle lors d’une conférence de presse jeudi à Salt Lake City. Gill Utah policiers ont été légalement justifié dans le tir de plus de 20 fois et du meurtre d’un homme armé alors qu’il s’éloignait. Le cas est devenu un point de ralliement pour les manifestants de l’état, au milieu d’une vague nationale de la dissidence contre la brutalité de la police. (AP Photo/Rick Bowmer)
La famille de Palacios-Carbajal ont exprimé leur déception quant à la décision, en disant Gill est le choix de ne pas porter des accusations au criminel contre les policiers perpétue un “système d’oppression. »
“en tant Que famille, nous ne nous arrêterons pas dans notre quête de justice pour Bernardo grâce à tous les moyens qui sont à notre disposition,” le procureur Nathan S. Morris lire à partir d’un rapport établi au nom de la famille, qui a appelé à manifester pacifiquement.
l’Avocat Brian Webber dit que les policiers avaient toutes les chances d’utiliser force non létale, et « il n’y a pas de raison de feu N ° 1, a fortiori, de tir n ° 34.”
Palacios-Carbajal la mort a suscité de vives protestations similaires à d’autres villes où les gens ont trouvé la mort lors de rencontres avec la police.
Lucy Carbajal, centre gauche, est assis derrière une photo de son fils Bernardo Palacios-Carbajal, tandis que les autres membres de la famille recherchez sur le cours d’une conférence de presse à son bureau du procureur de jeudi à Salt Lake City. (AP Photo/Rick Bowmer)
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Les officiers vu Palacios-Carbajal dans l’Utah Village Motel et l’a chassé après que quelqu’un a appelé la police pour signaler une apparente vol à main armée, ont annoncé les autorités. Ils ont crié à lui de s’arrêter et de jeter son arme, Gill dit.
séquences Vidéo montre Palacios-Carbajal ramasser ce que les agents a dit était une arme après trébucher et tomber à plusieurs reprises lors de leur fuite, Gill dit, ajoutant que Palacios-Carbajal semblait déterminée à tenir son arme.
« Le désir de récupérer le pistolet était plus grande que le désir de fuir,” dit-il. « S’il l’avait laissé, les agents disent l’imminence de la menace aurait été réduit pour eux et ils n’auraient pas utilisé que par la force ».
L’Associated Press a contribué à ce rapport.
