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Fédéral agents agressifs de balayage par le biais de Portland sur la 57e tout droit de la nuit des troubles
– Démocrates continuent de repousser contre le Président d’Atout l’appui du gouvernement fédéral d’intervention; Corke rapports de la Maison Blanche.
Un juge fédéral le vendredi refusé une commande demandée par l’Oregon procureur général d’interdire les agents fédéraux de procéder à des arrestations dans le cadre de manifestations à Portland, au milieu d’une bataille entre les progressistes, les leaders locaux et les atouts de l’administration sur la présence des forces fédérales.
états-UNIS Juge de Tribunal de District Michael Mosman, a déclaré l’état n’a pas intérêt à agir au nom de manifestants.
Oregon Procureur Général Ellen Rosenblum poursuivi l’Atout de l’administration la semaine dernière, invoquant des agents fédéraux ont arrêté les manifestants sans cause réelle et sérieuse et de l’usage excessif de la force. Les autorités nient les accusations.
DHS CHEF de CLAQUE PELOSI POUR APPELER l’APPLICATION de la LOI FÉDÉRALE ‘STORMTROOPERS’
les agents Fédéraux utiliser le contrôle de la foule des munitions pour disperser Noir Vie de la Matière manifestants à l’extérieur de la Marque O. Hatfield États-unis, palais de justice, ce mardi, à Portland, Ore. Jeudi, un juge fédéral a refusé un ordre pour empêcher les agents fédéraux de l’arrestation de personnes tous les soirs pendant les manifestations, à Portland. (AP Photo/Noah Berger)
La poursuite demandé une ordonnance d’interdiction d’arrêter les autorités fédérales de maintenir illégalement en détention des manifestants. Les Agents ont arrêté 18 personnes à Portland cette semaine, le Ministère de la Justice a déclaré vendredi. Ils font face à un grand nombre de des charges, notamment du fait d’agresser les agents fédéraux, incendies, de pillages et d’endommager la propriété fédérale.
Les agents ont été « soumis à tous les soirs de menaces et d’agressions de manifestants lors de l’exécution de leurs fonctions », a déclaré le Procureur AMÉRICAIN Billy J. Williams.
les agents Fédéraux ont été envoyés à la ville par le Président Trump, qui a blâmé les responsables locaux pour ne pas traiter les rassemblements nocturnes, tout en essayant de se projeter en tant que la loi et l’ordre le président. La plupart des troubles civils récents ont eu lieu près de la Marque O. Hatfield palais de justice AMÉRICAIN où les incendies ont été définis et certains manifestants ont jeté des projectiles sur les agents.
les Manifestants devraient aussi des lasers sur le bâtiment et a essayé de prendre vers le bas une barrière de sécurité. Ils se dispersèrent, les nuages de gaz se leva et agents licenciés de contrôle de foule de munitions, qui a gravement blessé un démonstrateur de ce mois-ci.
Cependant, l’utilisation de gaz lacrymogènes et de balles en caoutchouc ont déclenché une vague de critiques de la Démocratique maires civile et des défenseurs des libertés à travers le pays qui sont opposés au déploiement des agents fédéraux vers les villes.
“Alors que la décision dans l’état du procès est décevant, les agents fédéraux ne doivent pas pour une minute penser que leurs actions anticonstitutionnelles ira sans réponse », a déclaré Jann Carson, directeur général par intérim de l’ACLU de l’Oregon. « L’ACLU sera encore au tribunal de tenir les agents fédéraux responsables de leurs inconstitutionnelle attaques contre le droit de manifester.”
Un Noir à la Vie de la Matière manifestant brûle un drapeau Américain en dehors de la Marque O. Hatfield États-unis, palais de justice, lundi, à Portland, Ore. (AP Photo/Noah Berger)
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Rosenblum la motion a été l’un de plusieurs actions en justice contre les actions des autorités. Un autre juge fédéral fin jeudi bloqué états-UNIS agents de l’arrestation ou de l’utilisation de la force physique contre les journalistes et les observateurs juridiques, à des manifestations.
« Aucun gouvernement offerte intérêts l’emportent sur l’intérêt du public à des informations exactes et précises sur la façon d’application de la loi est de traiter les » manifestants, le Juge AMÉRICAIN Michael Simon a écrit.
L’Associated Press a contribué à ce rapport.
