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Devrait NOUS revenir dans coronavirus lockdown?
Réaction de l’auteur Alex Berenson et le Comité pour la Libérer de la Prospérité président, Phil Kerpen.
Une ville dans le New Hampshire, essayer d’apporter plus léger moment de la vie pendant le verrouillage de la, coince un poème chaque semaine au contraire de messages sur le coronavirus pandémie.
Tammi Truax de la ville, le poète lauréat du prix nobel, a été de contribuer à la newsletter depuis le début de avril, l’élévation de la collection de la santé publique mises à jour et des ressources de la communauté avec une couche de l’émotion et de l’introspection.
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le Poète Tammi Truax regarde par-dessus ses travaux récents, comme son carlin « Tarte » regarde, assis à sa table d’écriture, de porter un masque de protection en raison de la COVID-19 épidémie de virus, mercredi 29 juillet 2020, à son domicile, dans Eliot, dans le Maine. Truax, le poète lauréat de Portsmouth, N. H., des stylos, un hebdomadaire de la pandémie poème qui est inclus dans la ville COVID-19 bulletin d’information. (AP Photo/Charles Krupa)
Quand elle a été nommé poète lauréat de l’année dernière, Truax prévu plusieurs projets autour du thème “la Poésie comme un Pont,” y compris à l’aide de la poésie à cultiver une relation plus significative entre les résidents de Portsmouth et de sa sœur la ville de Nichinan, au Japon.
Mais après un voyage prévu il y a des étudiants du secondaire a été abandonné en avril en raison de la pandémie, elle a plutôt écrit un poème d’honorer les étudiants en soins infirmiers dont les diplômés, ils étaient censés y participer. Et elle a été mettant en évidence Japonais formes de poésie, comme le haïku — “Certaines nuits sont si sombre/Que la lune seule est sûr/le Matin va venir” et tanka, qu’elle décrit comme plus personnel et métaphorique — “La ronce s’étend/épineuse de la canne offre/Parfait framboises/Alors que partout ailleurs, je regarde/Un monde imparfait empire.”
après Avoir longtemps cru dans le pouvoir de la poésie pour aider les gens à traverser les moments difficiles, Truax a dit qu’elle a pris un plaisir sur le défi de composer des poèmes hebdomadaire, même si c’est différent de son processus habituel. Souvent, elle n’a pas d’écrire le poème jusqu’au jour où elle le soumet.
le Poète Tammi Truax pose, mercredi 29 juillet 2020, sur le perron de son domicile, à Eliot, dans le Maine. Truax, le poète lauréat de Portsmouth, N. H., des stylos, un hebdomadaire de la pandémie poème qui est inclus dans la ville COVID-19 bulletin d’information. (AP Photo/Charles Krupa)
“Parfois, les choses sont percolation tout au long de la semaine, et parfois le samedi matin, je n’ai aucune idée,” dit-elle. “Mais nous vivons une époque extraordinaire, et chaque semaine semble fournir suffisamment de matériau pour moi de répondre.”
Un poème évoque le renversement de monuments — un clin d’œil à la Black Lives Matter mouvement tandis que l’autre décrit la police à Madrid, la livraison de bouquets de tulipes pour les employés de l’hôpital.
Pour la fête du 4 juillet week-end, elle a produit un “trouvés poème” par l’extraction de termes à partir d’un Alexander Hamilton essai. La semaine suivante, elle a marqué l’anniversaire de Frida Kahlo avec un poème questionnement de ce que l’artiste, qui était clouée au lit pendant des mois pour cause de maladie et, plus tard, les blessures, serait de faire de “ceux d’entre nous se lamenter sur l’isolement” et refuse “de renoncer à ce que nous voulons, que nous devons, faire de désir”.
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le Poète Tammi Truax pose à sa table d’écriture, de porter un masque de protection en raison de la COVID-19 épidémie de virus, mercredi 29 juillet 2020, à son domicile, dans Eliot, dans le Maine. Truax, le poète lauréat de Portsmouth, N. H., des stylos, un hebdomadaire de la pandémie poème qui est inclus dans la ville COVID-19 bulletin d’information. (AP Photo/Charles Krupa)
Portsmouth bibliothèque publique est, y compris les poèmes dans une “communauté journal” documenter la pandémie, et le poème sur le Nichinan infirmières seront lus à leur retardé la cérémonie de remise des diplômes en octobre.
“Ce n’est vraiment avoir des ondulations qui s’étendent à l’extérieur”, a déclaré Stephanie Seacord, de Portsmouth, le fonctionnaire de l’information, qui compile la newsletter et est venu avec l’idée de demander à Truax de contribuer.
“j’ai pensé que, peut-être que nous pouvons vous offrir un moment de calme dans cette mer de folie,” Seacord dit. “Mais maintenant, pour moi, il a une vie en ce qu’elle fait partie de la nouvelle norme. Il fait partie de l’archive de ce que nous sommes tous de vivre”.
L’Associated Press a contribué à ce rapport.
