Rien ne l’aime davantage l’Humanité, à l’exception de l’Argent, de Sexe et de Pouvoir, en tant que Rites. Night of the Proms, inventé en 1984, sur le Modèle de la tradition britannique, Last Night of the Proms par les Étudiants belges Jan Van Esbroeck et Jan Vereecke, est devenu un Rituel annuel. D’abord en Belgique, puis aux pays-Bas et, enfin, depuis 1994, en Allemagne. Aussi pour Silberjubiläum kungelt vigoureusement les E – U-Musique. Certes, chaque Année, avec moins de E, et d’autant plus U, mais qu’est-ce’s? Comme dans les 24 Années auparavant, en séries plus ou moins de grands Noms de la nationale et internationale de la culture populaire dans une vague de Tourbetrieb, souvent à guichets fermés devant les Maisons de chacun des Dizaines de milliers dans la période de l’Avent, heureux de voter. Le premier de ces deux Soirs à guichets fermés dans la Festhalle de Francfort. Car la Cabane est pleine, et lors de l’Admission a remis lumière multicolores clignotent déjà comme des fous, avant même de commencer.

en Tant que nouveau s’avère tout de même beaucoup visuelle de la Technique, à savoir semi-écrans géants avant le brésilien Maestra Alexandra Arieche dirigé Antwerp Philharmonic Orchestra. Tridimensionnelle Impressions sont désormais un jeu d’enfant. Classique, il y a au Début: Après « Ouverture NOTP 2018 » suit le vrai du Déluge mythique Adagio de la « 9. Symphonie », « du Nouveau Monde », d’Antonín Dvořák. Pour la première fois, le Fait de participer, de ne elektrisierte Besucherschar « Mambo » de Leonard Bernstein comédie Musicale « West Side Story » à un certain Stade, tous les selon les « Mambo » appelez-le. Puis, en tenant la Sérénité de Retrait: Gabor Vosteen, « The Fluteman », associe l’Humour avec Virtuosité. Il peut toutefois, cinq Flûtes parallèlement à utiliser. Comment faire? Deux Flûtes dans la Bouche, deux dans le Nez et une Oreille. Plus tard, peut-il encore quatre Spectateurs Kollektivflöten sous le feu des Projecteurs demander.

Bendzkos leptosomer Betroffenheitspop

Tim Bendzko, de l’Allemagne, champion du Consensus, son Gendre, est le premier et unique Contribution allemande dans le Programme. Après tout: Bendzkos leptosomer Betroffenheitspop, avec lequel il affirme « n’est Pas une Machine » juste « Juste sauver le Monde » devait apprend symphonique du Soubassement musculaires de Croissance.

Lors de la Classique « À la belle Danube bleu » de Johann Strauss tourner des Dizaines de Paires dans l’Auditorium, le souverain leur Ronde dans le rythme à trois temps. Comme couper le souffle, avec virtuosité, se révèle un peu plus tard, le Guitariste Petrit Çeku du Kosovo. En Duo avec Tom Vanstiphout de la NOTP Dorsale de la Bande, il suffit même de classe mondiale. Discrètement dirige le Duo sur belge, auteur-Compositeur-interprète Milow, au milieu des Rangées de sièges « You don’t Know » … Sa perce-oreilles « Ayo Technology » et « Howling At The Moon » doublée des Belges, avec des Interactions et de ses Wunderkerzenfunken – le Favori de la Soirée est annoncée.

Directement dans la Disco

Après la Pause, de se livrer à l’Orchestre et le Chœur Komponistengenie Charles Camille Saint-Saëns. Petrit Çeku plonge dans Nino Rotas Musique du film « Le Parrain ». Après ça, Nymphe Bryan Ferry, à l’Âge de 73 Ans à Plein régime peut fonctionner: « Avalon », « Slave To Love » de John Lennon, « Jealous Guy », se caractérisent par des Amère, habile faire la fête dans le Boogie-Rythme, mais il fonctionne aussi comme sur des roulettes: « Let’s Stick Together » saisit l’Ex-Roxy Music Chanteur de même son de l’Harmonica.