Alfred assis en face de la Couronne de l’avent et étoile de noël avec sa Famille au bord de la table du Salon. Il boit du Thé, on mange du pain d’épice et raconte. Il y a exactement trois Ans, à Noël, c’est aujourd’hui 18 Ans, jeune Afghan de la Famille Harth venu. « En tant que père noël est en quelque sorte », dit le père Adoptif de Alexander Harth.

15 Ans est Alfred en provenance d’Afghanistan ont fui. Son Père a dû, sous la Pression des Talibans son Travail de Policier de l’abandonner. Aussi, Alfred a été menacé: Le Garçon, il s’appelait, je suis le Père en tant qu’Espion. Les Parents craignaient pour la Vie de son Fils aîné, et non sans Raison: Le Père, a Alfred au Téléphone, il y a deux Mois, a été assassiné, comme plusieurs de ses Amis et des Parents avant lui. La Mère vit avec Ruhollahs cinq jeunes Frères et sœurs encore dans les régions rurales de l’Afghanistan. Où exactement, veut Alfred de même dire que son Nom de famille est trop dangereux, la Situation de la Famille. « Quand je l’appelle, doit pleurer ma Mère », dit Alfred, et il a même les larmes aux Yeux.

Accompagné de deux Ans plus âgé Ami, il a alors fait le déplacement. Après une marche forcée de 31 Jours, par onze Pays, il est venu en Octobre 2015 vers l’Allemagne. À Francfort, les Amis, par les Autorités séparément. L’une, Alfred, est resté, et l’autre est venu dans une Maison dans la forêt d’Odenwald. Dans la Maison, se sentait Alfred solitaire: « J’ai été très, très triste. » Un petit Animatrice lui a conseillé, pour une Famille d’accueil à appliquer.

Lors de la première Rencontre avec les Harths, il aurait tout le Temps mis à trembler « comme un petit Oiseau », dit mère adoptive Christina Harth. Alfred rit. Surtout le majestueux Alexandre Harth ai d’abord nerveux: « un grand Homme! », dit-il. A l’époque, il avait besoin d’un Interprète. Maintenant, c’est être bien l’Allemand, et si lui Dire encore un Mot manquant, il lui demande doucement: « Comment est-à-dire, Maman? »

« Je n’avais même pas de Doute »

Neuf Jours après la première Réunion, il a déménagé à la Harths dans Oberrad. La Famille voulait lui dans tous les Cas, avant Noël et a, par conséquent, tous les Leviers mis en Mouvement. « Je n’avais même pas de Doute », dit Christina Harth. Grâce à leur germano-turc Pflegetochter, la Famille avait finalement déjà eu des Expériences de l’Enfant à accueillir. Une Chambre, ils avaient aussi libre, car le Fils aîné et la Pflegetochter étions à peine sortis. Seul le plus jeune Fils de Max était encore à la Maison. Tous les trois, les Enfants prennent la Décision des Parents. Max, maintenant 22 Ans et c’est avec l’Étude de l’Informatique de gestion terminé, voit les choses de façon très lâche: « Là, on avait juste encore un Frère de plus. »

comme dans le Cas de la Famille Harth, cela ne va pas toujours. À la mi-Décembre 2016 vivaient 21 mineurs non accompagnés Réfugiés de Francfort, les Familles d’accueil. A l’époque, il y avait encore plusieurs Neuvermittlungen, certains Composés ont été à nouveau arrêté. Depuis 2017, la Situation s’est doté de 16 Familles d’accueil à Francfort stabilisé, communique le service Social pour Pflegekinderhilfe.