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Christian Whiton sur Trump qui NOUS troupes à la maison de l’Afghanistan malgré les Talibans face
l’Ancien Département d’Etat de conseiller principal Christian Whiton rejoint » l’Amérique de la salle de presse.’
WASHINGTON — UN espion russe unité de payé les membres de l’Afghanistan des Talibans mouvement de mener des attaques meurtrières sur les troupes AMÉRICAINES dans ce pays, selon une annonce de l’Amérique de l’évaluation du renseignement, les personnes familières avec le rapport dit.
L’évaluation du rôle joué par la Russie de renseignement militaire de l’agence, le GRU, en favorisant les attaques contre les soldats Américains, vient en tant que Président d’Atout est de pousser le Pentagone à retirer une partie importante des forces AMÉRICAINES d’Afghanistan et que les diplomates AMÉRICAINS essayer de parvenir à un accord de paix impliquant les Talibans et les états-UNIS Afghan soutenu par le gouvernement.
POURQUOI EST-ce à NOUS d’ESSAYER DE FREINER l’ENQUÊTE de la CPI SUR les CRIMES de GUERRE » EN AFGHANISTAN?
L’évaluation de renseignements concernant les actions de la Russie en Afghanistan, a été livré à la Maison Blanche au début de ce printemps, et jusqu’à récemment, avaient été connues seulement une poignée de fonctionnaires, une personne familière avec la il dit. Son contenu a été signalé plus tôt vendredi par le New York Times.
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Il n’a pas pu être déterminé si les russes primes versées à des combattants Talibans ont entraîné des Américains morts au combat en Afghanistan.
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La Maison Blanche, la cia et le Pentagone a refusé de commenter. La russie Ambassade à Washington n’a pas immédiatement répondu à une demande de commentaire.
En question est le secret de l’unité de la GRU qui, selon les dirigeants Occidentaux, a effectué, parfois clandestins létale opérations contre Moscou adversaires. La même unité, disaient-ils, était responsable de l’intoxication au royaume-uni de Sergei Skripal, un ancien officier du GRU, qui a fait défection de la grande-Bretagne, et de sa fille. La russie a démenti toute implication.
Cette histoire se poursuit dans Le Wall Street Journal.
