Miesbach – Une blanche Fontaine gicle sur la Route à la Périphérie de la Ville, toujours et encore: Rudolf Röckenschuß se bat avec une souffleuse à neige lentement sur son Entrée. Il exploite une Boucherie en Miesbach; à 4 Heures, il s’est levé et a Leberkas préparé, maintenant, il s’assure d’abord que les Clients ne chez lui à la Cour. « C’est déjà trop », dit-il, estime l’Hiver, à travers les données qu’Ville par de violentes chutes de Neige couvert.

Vie il y a depuis nettement ralenti. Les écoliers de rester à la Maison, de nombreux Clients du Boucher. « De nombreuses couvertures de plusieurs Jours », raconte Röckenschuß.

Lundi, le Comté de Miesbach, en raison des chutes de Neige en cas de sinistre s’est exclamé. Toutes les Écoles jusqu’à la Fin de la Semaine, fermé, Trains, les Toits doivent être tombée sous le poids de la Neige humide rien de s’effondrer. En Deux Heures de Temps, conseille un état-Major de la Situation autour de l’Horloge. Dans les Cercles, la Situation est similaire.

les Écoles restent fermées, les Trains sont supprimés, et certains Habitants Hamsterkäufe lors de la MetzgerFoto: Lino Mirgeler / dpa

La Lutte contre l’Hiver est surtout sur les Routes. Une Excavatrice verse de la Neige sur le bord de la Route sur un Kipplader, pour un Mètre de hautes Montagnes, d’éliminer le chasse-neige a laissé.

il y a une Ladenzeile à Proximité battra un Homme en noir Anorak avec une pelle à neige sur le Trottoir. Il est Retraité et schippt pour le compte de la Propriétaire d’une entreprise, pour lui, un apport d’argent. Son Nom, il ne veut pas l’appeler, le Travail avec les produits blancs, le noir est accompli. « Si, un jour d’Hiver, nous avons eu pour la dernière Fois dans les Années 70 », se souvient-il. Tous les trois à quatre Heures, il devrait de nouveau couru, dans le Temps, soit la Voie zugeschneit.

Ferrée du Miesbacher la Gare, le manteau Neigeux est intacte. Les Bavarois Oberlandbahn, les Pendulaires en Direction de Munich, est à l’arrêt. Au lieu de cela, les Bus circulent. Mais de qui est, d’abord, rien à voir. « Le Lundi, je suis pas venu au Travail, aujourd’hui, à l’aise, pas du tout. Progressivement suffit  » à moi!“ déplore Marc Sonnleitner, devant la Gare, vous attend. « Nul ne sait quand les Bus arrivent, l’Internet, c’est rien », dit Juliette Mayer, au Travail, dans la Capitale de la navette. « Si cela continue, je vais pas demain. »

Le quitté la Gare de MiesbachFoto: Lino Mirgeler / dpa

il arrive alors, mais un Bus. Pilote Michael Kolic descend et se fixe d’abord une Cigarette. « J’ai gagné, je suis prêt », dit-il. Camions restent en, les Routes sont lisses, « il est le Pouls de plus en plus forte que la normale ». La plupart des Passagers étaient laissé impulsivere Natures ont laissé leur Frustration sur les Pilotes. Mais que pouvait-il pour cela que la Feuille de route n’est pas respecté?