Plein de Vie, ces deux heures office des morts. Avec de l’Action a Barbara Frey rien à faire. Ce que la Réalisatrice avec son excellent Ensemble pour accomplir un Forage dans un Texte littéraire, de la Vie et c’est ici, avant tout, la Mort magistralement réfléchie.

Cette Forage va lentement, mais sûrement le cas. Elle commence dans les Locaux de la Bürgerwohnung à Dublin, où le Récit «la Mort» la joue. Cet Appartement bénéficie d’une Drehbühne élevé et généreux – salle à Manger, Salon, salle de Musique et agit toutefois, à cause de la grünschwarzen Murs, de la pratique inexistenten mise en place et la avec parcimonie, mais utilisés de manière ciblée de la Lumière (Rainer Küng) comme un Tombeau.

Avec sa Scène de rencontre Martin Zehetgruber l’Ambiance de la Pièce parfaite. Le groupe de six, en étroite collaboration zusammengepferchte Partygesellschaft dans le noir le Frac (Bettina Walter), le Début de Cortège avec de graves Étapes des Tours, paraît si sombre, que l’espace, à travers le mouvement.

Encore, il semble que la couleur sombre de la Société à partir d’un seul être. Ce qui change au Fil de la Soirée. Gabriel (Michael Maertens), déchiré entre le Désir de la Tradition et de la Haine, de l’Irlande, de l’appareil, de plus en plus mis à l’Écart et, lors de son Apparition en tant que Tischredner de l’Arrière-plan des autres spukartig perturbé. La Scène, qui se tourne davantage le changement de Perspective et l’Impression de cette Société, des Fantômes d’eux-mêmes, j’ai tout de Cohésion perdu.

Le Récit de «La Mort», en 1914, dans la Collection «Dubliners» est apparu, est le Fil rouge, le Narrateur Claudius Körber accueille et weiterspinnt. Ainsi, il peut être Barbara Frey, mais ne pas en rester là. Elle tisse le Récit aussi avec des Textes de Joyce,’ Romans «Ulysse» et «Finnegans Wake ».

L’Ensemble porte ces Textes partiellement individuellement, partiellement synchrone avant. C’est souvent dans l’original eintönigem Singsang ce que l’Orientation musicale de Barbara Frey et le membre de la Troupe Jürg Kienberger souligne.

et sur la Scène, Jürg Kienberger dans son Élément. Virtuose, il accompagne les irlandais, les Chansons partout, aussi polyphonique résonnent sur le Xylophone et Piano. Benito Bause, Elisa Plüss et Lisa-Katrina Mayer, les trois autres Membres de la troupe, s’avèrent être d’excellents Chanteurs et Chanteuses.

Le Soir, est imprégné de Mélancolie et de la Dépression. Michael Maertens et Lisa-Katrina Mayer, à la Fin de la Pièce comme Gabriel, Mme Gretta son Mari, une amie d’enfance avoue apporter cette Ambiance dans un émouvant Dialogue sur le Point.

Entre les deux, ajoute Barbara Frey le Tissu avec de la Wortspielereien et satirique extrême, des Fragments, même avec colère, et scintillement la puissance féminine, soit de la Tristesse dans le Dos et que Paroli offre. Le Soir, dans la Sérénité à la Fin. Le Premierenpublikum a célébré l’Ensemble, ainsi que la Réalisatrice et son Équipe Jeudi soir, avec une longue Ovation.

Auteur: Karl Désert, ch-intercultur

(SDA)