Leipzig – C’étaient des Jours sans connexion Téléphonique et Internet. Chacune de ses Étapes a été observé. Lui-même ce qu’il fait dans son Carnet peint. Michael Fischer-Type (50), « International » Marathon de Pyongyang en Corée du nord a fini par aller de nouveau dans le Monde moderne, de Blois, où il vit avec sa Famille.

Toujours beschlich lui dans les Jours précédents de la Pensée: « Qui veut savoir comment la RDA après 70 Ans de Mangelwirtschaft eût dit, il faut, selon la Corée du nord voyages ».

Le Leipziger Visite à des étudiants en art Photo: © Michael Fischer-Art

L’Idée, peu après son 50. Anniversaire de la Course en Corée du nord connecter, était typique de Pêcheurs, de Type: je Veux, je vais le faire, peu importe ce que les Gens pensent. « Lart, espérons-le, dans le Régime de Kim », dit-il avant son Départ. « Je suis Ossi et je vais sans préjudice de revenir, parce que je sais qu’on n’est pas un journal mural de la démolir. »

1600 Participants ont lancé, dont 1000 Non-Coréens. Mais la Course était que secondaire. « Dix Jours que je suis sur Circuit en été. Payé, j’ai dans un bar lors d’un agent de liaison à l’Aéroport en Chine, j’ai la grande Colonne sous l’Horloge‘ a rencontré. Symbolique pour toute la Tournée“, raconte l’Artiste. Il a été autorisé à un Peintre visiter, les Enfants apprennent l’Allemand. « J’ai rencontré des jeunes, des Gens ouverts, qui riaient, une fois que vous inaperçu sentis et strictement ondes, si un Parteiauto vorfuhr. Pourtant, chaque Regard, chaque Étape a été contrôlée. Dans un Village dans les Montagnes, j’ai eu une Route n’est pas à la Fin de la course. Encore et toujours, quelqu’un a dit: ‘regardez pas par ici, s’il vous plaît pas de Photo là-bas.‘ “