à travers les Médias de râler, c’est très simple. On dit par Exemple: «Les exagérer et de les manipuler!» Ou: «L’Agenda caché!» Et déjà on se présente au Barbecue ou à la Pause café, en tant que critique, Esprit indépendant. Les journalistes cherchent toujours seulement le grand Scandale, bulles de tout, et de le vendre comme l’actualité! N’est-il pas ainsi?

Chaque Jour des tables de nous, les Médias geschäftsträchtigen la sonnette d’Alarme, les mauvaises Nouvelles du monde entier et de dissimulation, coquine et schadenfreudig le bien dans le Monde, pour nos pauvres Âmes Peur et pour cela, nous devons encore payer!

Oui, les Journalistes nous disent au maximum la moitié de la Vérité, et se produisent encore totalement dépourvu d’humour, avec l’ardeur de Sérieux désabusé Berufszyniker qui savent tout mieux et partout des Ennuis à parfumer. Ce faisant, ils seraient plutôt que de consulter un Psychiatre.

Pourquoi consommons-nous quand même?

Pas si simple, il est, lui-même en tant que consommateurs de médias pour critiquer, et, par Exemple, de rendre compte de pourquoi nous sommes tous les jours à tous ces Médias de consommer de la soi-disant mauvais. Pourquoi nous avons toujours Skandalgeschichten lire et le Venin de la Bad News absorber, comme la Fumée d’une Cigarette à la hâte fume.

nous il Nous consommons obsessionnelle analogique et numérique Medienlärm, parce que nous pensons que nous avons l’habitude de ne pas avoir leur mot à dire, et nous avons besoin de nous, de tout énerver. En outre, il est clair que, nous, ce que nous, les Médias accusent (Fixation sur le Négatif, en Omettant le Positif), à l’encontre des Médias eux-mêmes l’exploitation: Nous fixer sur le Négatif et laissez-le Positif chemin.

«Aboiements des Chiens de garde»

Nous avons oublié qu’il existe encore, les Journalistes, les de nous en informer pour que cela nous arrive de bonne réputation classer publics et contrôle du pouvoir exploiter. Sans elle, pas de Démocratie. Ou, formulé avec de l’Idéal de l’Écrivain Ephraim Kishon (1924-2005): «Les Médias sont les aboie Chiens de garde de la Démocratie, et la Démocratie est le meilleur Système politique, parce qu’on impunément insulter peut.»

Giuseppe Gracia (51) est un Écrivain et Medienbeauftragter de l’Évêché de Coire. Il est marié et Père de deux Enfants. Dans son REGARD, Colonne, chaque deuxième Lundi paraît, il exprime un point de vue personnel.