Vincent Gérard (gardien de l’équipe de France, sur BeIN Sports) : «Cela fait plaisir. Nous avions vu la difficulté qu’avaient connue les Espagnols face à cette équipe. Nous l’avons donc abordé très sérieusement. Nous aurions pu faire mieux en première période mais le score final est une très bonne chose. À la pause, il n’y avait pas le feu à la maison mais nous n’étions quand même pas contents de nos nombreuses erreurs, en attaque et en défense. Mais nous avons été capables de réinsuffler de l’allant dès le début de la seconde période. Sur un plan personnel, quand cela se passe bien, c’est toujours plaisant. Il fallait que j’arrive à garder du rythme, ce que je n’avais pas su faire jusqu’alors.»

Melvyn Richardson (arrière droit de l’équipe de France, sur BeIN Sports) : «On arrive à un moment où l’on a déjà enchaîné pas mal de matches, dans une salle que nous découvrions. Cela a été un peu difficile de se mettre dans le bon rythme. Mais Vincent (Gérard) a fait les arrêts qu’il fallait pour nous mettre dedans et nous avons haussé le ton petit à petit. Chacun dans l’équipe peut apporter un plus à cette équipe. C’est notre grande force et c’est à nous de nous en servir.»

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Guillaume Gille (sélectionneur de l’équipe de France, sur BeIN Sports) : «La première période, on domine les débats mais cela ne se traduit pas au tableau d’affichage car nous avons commis de grosses erreurs qui nous ont empêchés de nous envoler. À la pause, il y avait un peu d’énervement de nous retrouver dans un match encore serré alors que tous les voyants étaient au vert. Mais en seconde période, nos rotations ont usé le Monténégro. Ce qui est certain, c’est que l’enchaînement des combats commence à se faire sentir. Cela couine un peu à tous les étages et nous sommes très précautionneux au cas de chacun.»