HAUTS

Ils ont réalisé un travail considérable dans les attaques parisiennes, mais également en défense pour gratter quelques plusieurs ballons, à l’image de Sekou Macalou, récompensé au contest (60e) avant de dégoupiller (voir ci-dessous). En mêlée, ils ont également été au rendez-vous, pour obliger les Montpelliérains de commettre des erreurs (voir ci-dessous). Leur travail a été remercié par Joris Segonds après la rencontre, qui confirmait «leur boulot énorme» après la rencontre.

Joris Segonds a réalisé un excellent début de rencontre, avec deux pénalités converties (10e, 13e) malgré le vent , «qui soufflait énormément» comme le commentait-il après la rencontre, au micro de Canal . Il a également inscrit un drop face aux perches, mettant un coup sur la tête du MHR en début de seconde période (45e). Adroit à la passe (94% réussies), il a toutefois manqué ses derniers coups de pied (2 pénalités, une tentative de drop), qui auraient pu coûter cher à son équipe.

À lire aussiTop 14 : le Stade Français conforte son leadership et enfonce le MHR

flops

Les lacunes dans cette phase de jeu de Montpellier sont bien connues. C’est d’ailleurs l’équipe qui gratte le moins de ballons sur cette phase de jeu. Mais ce samedi après-midi contre les Soldats Roses, le talonneur Christopher Tolofua a également eu beaucoup de mal à trouver ses partenaires. Les Montpelliérains ont notamment perdu 4 ballons sur leurs propres lancers en première période. Un total bien trop élevé.

Sur les phases statiques en général, les Montpelliérains ont pêché. En mêlée, les avants montpelliérains n’ont pas fait le poids. Ils n’ont remporté qu’une pénalité en seconde période sur cette phase de jeu, contre cinq concédées dans cette rencontre. De grosses lacunes en conquête.

En deuxième partie de seconde période (65e), Paul Willemse et Sekou Macalou se sont pris le chou et attrapés le col, jusqu’à s’emmener au sol après une grosse prise de tête… Ce qui a déclenché une bagarre générale. Indigne de capitaines. Ils ont tous les deux été exclus temporairement, avant de revenir sur le terrain pour les cinq dernières minutes de la rencontre.